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Vous ne devinerez jamais quelle star du cinéma américain est le sosie de ce chien

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Vous ne devinerez jamais quelle star du cinéma américain est le sosie de ce chien

PEOPLE - Il y a certaines comparaisons qui peuvent faire plaisir... et d'autres beaucoup moins. Laura Dern l'a sans doute appris à ses frais, après que les internautes lui ont trouvé un sosie pour le moins particulier.

Tout commence mardi 23 janvier, lorsqu'une internaute publie sur Twitter la photo de "Kimchee The Maltipoo", un petit chien suivi par quelques 6000 personnes sur Instagram. "Ce chien ressemble à Laura Dern", écrit-elle.

Une ressemblance qui n'a pas non plus échappé aux quelques 22.000 personnes qui ont ensuite aimé sa publication. Retweetée plus de 4000 fois, l'image a fini par arriver sous les yeux de la principale intéressée. Mais loin de se fâcher, l'actrice, connue entre autre pour son rôle dans la série "Big Littles Lies" et Jurassic Park, a préféré en rire. "Aurait-dû jouer Renata dans Big Little Lies?", a-t-elle demandé, en faisant référence à son personnage dans la série.

"Oh mon dieu, c'est la star de Jurassic park" "Ce chien est très fâché qu'Amabella ait été exclue", a tweeté cette internaute, dans un allusion au dernier épisode de la série.

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L'ex-président brésilien Lula condamné à 12 ans de prison, sa peine alourdie en appel

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INTERNATIONAL - L'ex-président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a été reconnu ce mercredi 24 janvier coupable de corruption à l'unanimité des trois juges de la Cour d'appel de Porto Alegre, qui ont alourdi sa peine d'un tiers, à 12 ans et un mois de prison.

Ce jugement crucial hypothèque sérieusement les chances de Lula de se présenter à l'élection présidentielle d'octobre pour laquelle il est favori, bien que de nombreux recours soient possibles.

Joao Gebran Neto, premier juge de la Cour d'appel de Porto Alegre (sud) à voter et rapporteur du procès, a confirmé la condamnation de la figure emblématique de la gauche, tout en alourdissant sa peine à 12 années et un mois de prison, contre neuf ans et six mois en première instance. Le vote des deux autres magistrats a enfoncé le clou: il était motivé de la même manière.

Les trois juges ont précisé que la peine ne serait appliquée qu'après épuisement de tous les recours, écartant une incarcération de Lula dès mercredi.

En début d'après-midi, l'ex-président avait une nouvelle fois affiché sa "tranquillité" avant la décision des juges, même si sa relaxe paraissait improbable. "La seule chose dont je suis sûr, c'est que je ne m'arrêterai de me battre que le jour de ma mort", a dit Lula, qui devait participer à une manifestation à Sao Paulo qui réunissait déjà 10.000 de ses supporters en fin d'après-midi.

L'ancien président au cœur d'un vaste réseau de corruption

Gleisi Hoffmann, présidente du Parti des travailleurs (PT), fondé par Lula, avait appelé ses soutiens à "aller dans les rues, parce que la démocratie est en péril" si sa condamnation était confirmée. Des milliers de sympathisants de Lula ont convergé depuis la fin de la semaine dernière à Porto Alegre, dans une ambiance tendue qui laissait redouter des affrontements avec ses opposants.

Bien qu'extrêmement populaire dans les régions pauvres grâce aux programmes sociaux engagés au cours de ses deux mandats (2003-2010), l'icône de la gauche est aussi cordialement détesté par une partie des Brésiliens, qui devaient manifester également à Porto Alegre, Sao Paulo, et Rio en fin de journée.

"Lula pense qu'on ne peut pas enquêter sur lui? Il se prend pour Dieu", a déclaré à l'AFP-TV une manifestante à Sao Paulo. "Il faut qu'il aille en prison, il doit être condamné".

Lula est accusé d'avoir reçu un triplex en bord de mer du groupe de bâtiment OAS en échange de l'attribution de marchés publics de Petrobras pendant sa présidence (2003-2010). Le juge Grebran Neto a affirmé qu'"il existait des preuves au-delà de tout doute raisonnable" que "ce triplex était réservé au président Lula".

"L'ex-président était un des principaux artisans, sinon le principal, d'un vaste réseau de corruption (...) qui a fragilisé non seulement le fonctionnement de Petrobras, mais de tout le processus politique du Brésil", a-t-il asséné.

L'avocat de Lula, Cristiano Zanin Martins, avait auparavant affirmé que le triplex au coeur de la procédure "n'appartenait pas à Lula" mais à OAS et que "Lula n'en a jamais reçu les clés et n'y a jamais passé une nuit". C'est le héraut de l'enquête tentaculaire "Lavage-express, le juge Sergio Moro, ennemi intime de Lula, qui avait prononcé en juillet 2017 cette condamnation choc, puis saisi ses biens.

Ses partisans ont relevé que la justice brésilienne avait fait montre d'une célérité inhabituelle dans la procédure visant Lula et que les preuves contre lui, qui reposent sur une délation, étaient bien minces.

Illustration réalisée par Yinan Chai.

Après des études de communication en Chine, Yinan choisit de s'envoler découvrir le design graphique en France. Plusieurs stages aux éditions Fei et en agence de pub plus tard, elle décide d'entrer au CESAN pour approfondir ses connaissances des arts graphiques et narratifs. Attirée par l'illustration, elle réfléchit encore et toujours à de nouvelles histoires à partager avec le monde dans des livres et sur son Instagram.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Lactalis: des parents portent plainte contre le groupe et les services de l'État, jugés complices

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LACTALIS - Insatisfaits de l'enquête en cours du parquet de Paris, les parents d'un jeune garçon ayant consommé du lait infantile contaminé aux salmonelles réclament la désignation d'un juge d'instruction, en aggravant les accusations contre Lactalis et des services de l'Etat.

Cette famille a déposé ce mercredi 24 janvier auprès du tribunal de grande instance de Paris une plainte avec constitution de partie civile, qui vise directement le groupe laitier, pour "administration de substances nuisibles ayant entraîné une infirmité permanente" sur mineur de moins de 15 ans et par plusieurs personnes, a appris l'AFP auprès de son avocat.

Cette procédure, qui permet de passer outre l'action du procureur et d'obtenir directement la désignation d'un juge d'instruction, est rendue possible car la plainte vise une qualification criminelle, passible de la cour d'assises. "Je souhaite que plusieurs magistrats instructeurs spécialisés soient saisis car la mise en cause de l'Etat dans cette affaire requiert l'intervention de magistrats indépendants", a expliqué à l'AFP Me Yassine Bouzrou, l'avocat des parents.

Depuis le 22 décembre, le parquet de Paris mène une enquête préliminaire ouverte contre X, pour "blessures involontaires" et "mise en danger de la vie d'autrui", des délits relevant du tribunal correctionnel. Dans ce cadre, des perquisitions ont été menées sur cinq sites du groupe, dont son siège social à Laval et son usine Celia de Craon (Mayenne), d'où sont sortis les lots de lait contaminés.

Les contrôles des services de l'état remis en question

Cette nouvelle plainte vise Lactalis, en tant qu'auteur principal des faits, et, en qualité de complices, la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection de la population (DDCSPP) de la Mayenne et la Direction générale de l'alimentation, responsables des contrôles sanitaires et de la délivrance d'un agrément à l'usine.

Les plaignants font valoir que Lactalis a "volontairement commercialisé le lait contaminé à la salmonelle" et qu'il "ne pouvait ignorer" la présence de ces bactéries dans son usine après deux contrôles internes en août et novembre 2017, selon la plainte dont a eu connaissance l'AFP

Ils accusent aussi les agents de la DDCSPP de Mayenne de n'avoir "volontairement pas effectué de contrôles sur la production de lait infantile", lors de leur visite du 5 septembre 2017, et reprochent à la Direction générale de l'alimentation d'avoir délivré malgré tout un agrément pour l'ensemble de la production de l'usine.

Jusqu'à présent, 37 bébés ont été atteints de salmonellose en France après avoir consommé un produit d'alimentation infantile Lactalis infecté, selon un bilan au 11 janvier.

Le groupe a été attaqué pour avoir tardé à réagir après les deux contrôles internes puis pour sa gestion du rappel des lots de lait infantile en décembre. Le retrait s'est révélé incomplet, certains distributeurs ayant continué à vendre des produits potentiellement contaminés pendant plusieurs semaines. Le rappel a été élargi le 12 janvier à tous les lots de lait infantile produits à Craon.

A ce jour, douze plaintes ont été enregistrées au pôle santé publique du parquet de Paris, chargé de les centraliser, selon une source judiciaire.

Illustration réalisée par Sarah Ulrici.

Sarah raconte des histoires, depuis toujours et d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Son trait à la fois souple et solide, sa manière de capter l'instant, son regard mi-amusé, mi-inquiet sur ses contemporains, rappelle tantôt Christophe Blain, tantôt Philippe Dupuy ou Charles Berberian. Quand elle ne dessine pas, elle court, très vite, derrière un ballon ovale et sur un terrain de rugby. Voir d'autres œuvres de cet auteur sur son blog.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Les images des deux premiers bébés primates clonés avec la même technique que la brebis Dolly

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SCIENCES - Des chercheurs en Chine sont parvenus à faire naître pour la première fois des primates génétiquement identiques par la même technique de clonage utilisée il y a plus de vingt ans pour la célèbre brebis Dolly, premier mammifère cloné.

Les deux macaques crabiers, baptisés Zhong Zhong et Hua Hua, ont respectivement huit et six semaines et sont pour le moment en bonne santé après ce clonage somatique (par cellules non reproductrices), comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous.

Cette réussite est prometteuse pour la recherche médicale car elle pourrait permettre aux laboratoires de travailler avec des populations de primates génétiquement uniformes, ont-ils souligné. Les primates sont les animaux les plus proches des humains. "On peut maintenant produire des singes clonés génétiquement identiques, à l'exception des gènes que l'on souhaite manipuler", a relevé Qiang Sun, directeur du centre de recherche en primatologie non-humaine à l'Académie chinoise des sciences.

Outre "répondre aux nombreuses questions subsistant sur la biologie des primates", cela devrait surtout permettre de "créer des modèles de recherche pour des maladies humaines provoquées par des mutations génétiques comme des cancers, des dysfonctionnements immunitaires ou des troubles du métabolisme", a-t-il précisé. Les laboratoires pourront également "tester l'efficacité de traitements expérimentaux avant de mener des essais cliniques".

Pour ces études cliniques, plusieurs milliers de patients sont nécessaires "car les humains sont génétiquement variés", a souligné auprès de l'AFP Muming Poo, chercheur à l'Académie chinoise des sciences. "En travaillant sur un petit groupe d'animaux génétiquement semblables, il est possible de tester beaucoup plus rapidement de nouvelles molécules", a-t-il pointé.

Une technique scientifique compliquée à utiliser sur les primates

Zhong Zhong et Hua Hua ne sont pas les premiers primates clonés, titre qui revient au macaque rhésus Tetra né en 1999 par une méthode de clonage plus simple et plus limitée appelée division de l'embryon.

Les deux petits macaques résultent, eux, d'un transfert nucléaire de cellules somatiques (SCNT) qui consiste à prélever le noyau d'une cellule avec son ADN, dans le cas présent, dans du tissus foetal, pour l'implanter dans un ovocyte non fécondé dont le noyau a été retiré. Une fois ce transfert effectué, l'ADN est reprogrammé à l'aide d'une impulsion électrique et commence à se diviser jusqu'à former un embryon. Cette technique, utilisée sans problème depuis vingt ans sur plus de vingt espèces animales (chiens, chats, porcs,vaches, et d'autres), s'est avérée beaucoup plus compliquée avec les primates.

Après de nombreux échecs, les chercheurs chinois finalement ont innové: ils ont utilisé un noyau du fibroblaste foetal (tissus conjonctif) et réalisé la délicate opération de transfert très rapidement. "Nous avons essayé plusieurs approches différentes mais une seule a fonctionné", a expliqué Muming Poo.

Moins d'expérimentations animales

Selon lui, cloner des primates permettrait d'utiliser beaucoup moins d'animaux pour des expérimentations qui soulèvent de nombreuses questions éthiques. Les Etats-Unis importent à eux seuls de 30.000 à 40.000 singes chaque année pour la recherche médicale, a-t-il indiqué.

Les scientifiques chinois ont reconnu que leurs travaux allaient susciter de nouvelles craintes concernant le clonage humain. "On peut, en principe, cloner des humains", a lancé Muming Poo. "Je pense que personne ne veut cloner des êtres humains, la société ne le permettrait pas" mais "une fois qu'une nouvelle technique apparaît, le risque d'une mauvaise utilisation existe".

Pour le professeur Darren Griffin de l'université britannique de Kent, "l'annonce du premier clonage d'un primate va sans aucun doute soulever des inquiétudes éthiques, les critiques évoquant l'argument du pas de plus nous rapprochant du clonage humain". Reste que, a-t-il souligné, "le clonage de primates sera très utile pour comprendre des maladies humaines, surtout génétiques, et découvrir des traitements".

Illustration réalisée par Claire Le Men.

Au moment de choisir sa voie, Claire décide qu'elle sera médecin et un jour, peut-être, auteure de BD. Pendant son internat en psychiatrie, elle est passionnée par l'histoire de ses patients. Elle a cette idée de bande dessinée qui lui trotte dans la tête. Elle prend une disponibilité, part au Cap Nord à vélo et réfléchit à sa BD. Elle fait ensuite un stage de bande dessinée au CESAN puis décide d'y entrer en cursus continue pour "arrêter de piquer les histoires des autres et raconter elle-même".

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Meryl Streep rejoint le casting de "Big Little Lies", la série qui cartonne sur "HBO"

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SÉRIES TÉLÉ - Une rencontre qui promet beaucoup. Ce mercredi 24 janvier, HBO a annoncé une nouvelle qui devrait plaire aux fans de séries: l'immense Meryl Streep va rejoindre le casting de "Big Little Lies", l'un des programmes qui fascinent le plus en ce moment, et qui a notamment fait une razzia de trophées lors des derniers Golden Globes.

Cette annonce intervient alors que Meryl Streep est en pleine promotion pour "Pentagone Papers", le dernier film de Steven Spielberg dont elle partage l'affiche avec Tom Hanks, et qui lui a valu une 20e nomination aux Oscars.

Cette participation à la saison 2 de "Big Little Lies", saison dont l'officialisation a mis longtemps à arriver, sera également pour l'Américaine de 68 ans l'occasion de retrouver la chaîne HBO. Il y a quinze ans, elle y avait connu l'un de ses plus grands triomphes sur petit écran, par son rôle dans "Angels in America", une mini-série acclamée de toutes parts et primée dans de très nombreuses cérémonies.

Dans la série, à en croire les informations du toujours très bien informé Hollywood Reporter, Meryl Streep incarnera Mary Louise Wright, la mère du personnage joué dans la première saison par Alexander Skarsgard.

Pour rappel, la série "Big Little Lies" laisse la part belle à plusieurs actrices de renom (Laura Dern, Nicole Kidman, Reese Witherspoon...). L'intrigue tourne autour des relations entre ces différentes femmes, dans une communauté apparemment sans imperfection, mais où les non-dits et la violence entre enfants causent des problèmes et divisent les personnages. Et l'on s'attend d'ores et déjà à ce que Meryl Streep s'y fasse une place...

Illustration réalisée par Broon.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Festival d'Angoulême 2018: Que sont devenus les dessinateurs qui ont illustré le HuffPost?

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ANGOULÊME - Et de cinq. Alors que s'ouvre le Festival de BD d'Angoulême ce jeudi 25 janvier, c'est la cinquième fois que Le HuffPost marque le coup. De 00h01 à 23h59, notre site sera entièrement illustré par des étudiants du Cesan, première école de bande dessinée et d'illustration à Paris. Une vingtaine d'entre eux et leurs professeurs se succéderont dans nos murs pour dessiner tous nos articles et blogs.

C'est la quatrième fois que nous menons ce partenariat: notre première "opération Angoulême", en 2014, avait été organisée avec une dizaine de dessinateurs lauréats du prix de la BD scolaire du Festival. Parmi eux, Jérémie Moreau, en lice pour le Fauve d'Or cette année pour sa quête islandaise "La Saga de Grimr".

Justement, que sont devenus ces dessinateurs qui ont contribué, les années précédentes, à illustrer notre site à l'occasion du début du Festival d'Angoulême? On vous donne des nouvelles de certains d'entres eux...

Marie-Ange Rousseau a participé à l'opération Angoulême en 2015 et en 2016. Elle a notamment illustré un article sur le hashtag #SmearForSmear, qui avait été lancé pour prévenir contre le cancer du col de l'utérus.

En octobre 2017, avec Jessica Oublié, Marie-Ange Rousseau publie "Peyi an nou", une bande-dessinée documentaire sur l'histoire du Bumidom (Bureau pour le développement des migrations dans les départements d'outre-mer), racontant l'émigration de 160.000 personnes originaires de différents départements d'Outre-Mer vers la métropole. Une enquête illustrée sur les coulisses de cet organisme et un pan méconnu de l'histoire de la France et de ses territoires ultramarins.

Caroline Lee a illustré quatre articles du HuffPost en janvier 2016. Elle a notamment croqué la parodie de la chanson d'Adele, "Hello", par un candidat républicain.

Aujourd'hui, elle voit son pays natal, les États-Unis, faire face à la montée du populisme. Caroline Lee a donc tout naturellement décidé de prendre ce sujet comme toile de fond pour son nouveau roman illustré.

Au coeur des années 60, on suit l'année d'un groupe de trois lycéens américains, aux portes de l'âge adulte. En posant la question de l'identité américaine, Caroline Lee fait le parallèle entre l'idée du rêve américain de l'époque et celui d'aujourd'hui. "Irvington, Class of 65" doit paraître en avril aux Éditions çà et là.

La dessinatrice Emmanuelle Gache avait participé à la première édition de la coopération entre le HuffPost et le Cesan. Elle avait notamment illustré l'anecdote qui s'était déroulée pendant un match de l'Open d'Australie 2015: la copine d'Andy Murray avait insulté Tomas Berdych.

Aujourd'hui, c'est sous son alias Emma Subiaco que la bédéiste crée. Avec son projet "Striptease aux pieds plats", dont la sortie est prévue pour le printemps 2018, elle questionne la féminité en présentant divers archétypes de femmes. On suit l'histoire de Camille, dont l'univers s'écroule quand elle se rend compte que son compagnon la trompe.

C'est pour la seconde édition du partenariat, en 2016, que Margaux Sourisseau avait contribué à la création d'illustrations pour les articles du HuffPost. Elle avait notamment croqué, avec beaucoup de créativité, un pianiste dans un centre commercial du Michigan, se basant sur une vidéo devenue virale.

Margaux Sourisseau fait aujourd'hui parti des 20 lauréats du concours jeunes talents 2018 du Festival d'Angoulême. Ses dessins ont été remarqués par un jury d'experts parmi 460 participants. Cette distinction lui permettra de voir ses planches exposées au sein du Pavillon Jeunes Talents pendant le Festival, du 25 au 28 janvier. Au sein de cette sélection, trois lauréats seront annoncés lors de la soirée du jeudi 25 janvier et l'un de ces trois illustrateurs se verra remettre le prix "Jeunes Talents".

En parallèle, Margaux Sourisseau a participé avec sept autres illustrateurs à la conception et aux dessins d'un album collectif intitulé "Dans ma tête" et publié aux éditions Vedrana. Elle travaille aussi sur un fanzine prévu pour le printemps 2018.

Jean Bastide

Jean Bastide a participé à la première édition de l'"opération Angoulême" en 2014. Dans un blog de notre partenaire de l'époque, LeHuffPost avait diffusé deux planches de sa "Guerre des Sambre".

Aujourd'hui, Jean Bastide dessine certains des personnages de BD les plus populaires: Boule et Bill. Depuis novembre 2016, il esquisse ce célèbre couple du neuvième art. Avec Christophe Cazenove, Jean Bastide redonne vie à ce duo. C'est par ailleurs pour dédicacer le 38e tome de "Boule et Bill" qu'il est présent cette année au Festival d'Angoulême.

Jean Bastide va également mettre en couleur le troisième tome de la série "Katanga" et le quatrième tome d'"Elric". Mais, comme il l'explique au HuffPost, son "envie globale est de revenir au dessin. Peut-être même au scénario, qui sait".

Tout comme Jean Bastide, Timothée Bart a participé en 2014 à l'opération. Il s'en souvient comme d'un "défi très amusant". Il avait illustré un article sur les régimes détox à l'aide d'une image animée. C'était pour lui sa "première expérimentation du dessin de presse. Il fallait réagir rapidement et rendre l'actualité plus digeste en faisant sourire le lecteur" se souvient-il, quatre ans après. "J'étais ravi d'entrer dans les locaux du Monde dont la façade signée Plantu me faisait de l'œil quotidiennement depuis la rame de la ligne 6", lance le dessinateur.

Aujourd'hui, Timothée Bart s'est éloigné de ses premières amours pour la bande-dessinée et travaille comme illustrateur et animateur dans un studio interactif parisien. Il crée des illustrations ou animations qui sont ensuite intégrées à des sites Internet, des applications: "Parallèlement, je travaille en tant qu'illustrateur et motion designer indépendant. Ça me permet de faire un peu d'illustration pour des magazines, et j'adore ça: c'est toujours une vraie satisfaction de voir mes illustrations imprimées matériellement sur les pages, et encore plus quand on peut les trouver dans des kiosques à journaux!" s'enthousiaste le créateur.

Timothée Bart avoue qu'il aimerait se mettre à son propre compte et pourquoi pas, un jour, recommencer à dessiner, notamment dans l'illustration jeunesse.

Le bédéiste a participé à l'"opération Angoulême" en 2014 et avait notamment illustré un article sur Nicolas Sarkozy et ses relations avec la presse.

En 2014, Jérémie Moreau signe un album (en deux tomes) en solo: "Max Winson". L'histoire d'un joueur de tennis adulé mais qui cache de grandes blessures: une enfance volée par un père tyrannique, des entraînements inhumains sur les courts. Jusqu'à ce que son paternel devienne trop faible pour coacher le héros et que la liberté lui tende les bras.

Pour son troisième ouvrage, "La Saga de Grimr", sorti en septembre 2017, Jérémie Moreau s'essaie à l'aquarelle pour la première fois... mais travaille tout de même son dessin à l'ordinateur. Cet ouvrage est un véritable succès critique si bien que, cette année, Jérémie Moreau est en lice pour le Fauve d'Or du Festival d'Angoulême, où il sera de la partie.

Illustration réalisée par Maël Biskotz.

Depuis l'enfance, Mael croque, dessine, illustre, regarde. Au moment de choisir sa voie, il a donc jeté son dévolu sur une licence d'arts plastiques malgré des cours qui se sont avérés beaucoup théorique pour son âme de créateur. C'est cette liberté de création qu'il a vu au CESAN quand il a choisi d'y entrer pour apprendre à écrire des bandes dessinées. Quand il sera plus grand, Mael veut raconter des histoires, toucher et émouvoir en militant, principalement pour les droits LGBT+. Il a déjà commencé sur son blog "Chez Biskotz".

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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La bande dessinée et Le HuffPost, une histoire d'amour

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Pour l'ouverture du Festival d'Angoulême 2018, la une du "HuffPost" illustrée en dessins pendant 24 heures

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BD - C'est parti pour le festival d'Angoulême. La 45e édition de cette grand-messe de la bande dessinée, qui ouvre ses portes ce jeudi 25 janvier, sera résolument tournée vers le Japon, pays du manga, et rendra aussi hommage au Suisse Cosey, à la dessinatrice Marion Montaigne ou encore au dessinateur singapourien Sonny Liew.

Au HuffPost, nous ne sommes pas encore aussi âgés, mais c'est déjà la cinquième fois cette année que nous marquons le début du festival. Comment? Tout simplement en illustrant tous nos articles par des dessins, durant toute la journée de jeudi.

Comme les trois années précédentes (ici en 2015, ici en 2016 et ici en 2017), Le HuffPost accueille donc les élèves du Cesan, première école de bande dessinée et d'illustration à Paris. Une vingtaine d'entre eux et leurs professeurs se succéderont dans nos murs pendant 24 heures pour dessiner tous les articles et blogs que nous publierons.

De 00h01 à 23h59 ce jeudi, vous pourrez retrouver le travail de ces jeunes dessinateurs, fruit des échanges et de la collaboration avec toute la rédaction du HuffPost. L'occasion de découvrir des styles et univers créatifs aussi riches que divers, avec un regard sur l'actualité forcément différent de celui qu'ont les journalistes.

Illustration réalisée par Rémy Pelletier.

Après son BAC pro commerce, Rémy décide d'approfondir son attrait pour le dessin, d'abord seul entre deux jobs puis en entrant au CESAN. Il y découvre l'illustration et la bande dessinée mais est secrètement amoureux de l'illustration qui lui permet de créer une histoire entière à travers un seul visuel. Pour découvrir ses projets, rendez-vous sur Instagram.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Tous les dessins des élèves du Cesan publiés sur Le HuffPost en 2017

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"Say Something" Justin Timberlake : comment ces Français de la Blogothèque ont fait le clip

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CULTURE - En 2011, Christophe Abric à la tête de la Blogothèque, rêvait de filmer Justin Timberlake. Aujourd'hui, c'est chose faite. Après avoir transporté leurs caméras dans les rues de Nantes, au Château de Versailles ou encore à l'aéroport Charles de Gaulle à Paris, la Blogothèque s'est envolée pour Los Angeles pour un mois afin de filmer le clip du dernier single de Justin Timberlake, "Say Something", issu de son nouvel album "Man of the Woods".

Plus spécialisée dans la captation que dans la réalisation de clips, la Blogothèque créé en 2003 par quelques blogueurs passionnés de musique, a conceptualisé il y douze ans les "concerts à emporter". Le but? Filmer en live, sans retouches, sans artifices, des artistes indépendants dans des lieux qui "font vivre la musique".

De plus en plus sollicitée, la Blogothèque attire alors de nombreux artistes internationaux. Tous ayant craqué pour leur marque de fabrique: l'authenticité dans l'image, et le libre cours de la performance vocale. Parmi eux Alicia Keys, Bon Iver, Mac DeMarco et le dernier en date, Justin Timberlake.

Une histoire digne d'un film

À entendre leur histoire, tout semble être allé très vite et, il faut l'avouer, un peu par hasard: "Le manager de Justin Timberlake nous a contacté au début du mois de novembre 2017 et nous a dit: 'Justin sort un album, on veut tourner un clip avec vous'", explique Christophe Abric contacté par LeHuffPost, visiblement encore surpris par cette expérience. "Nous avons appris qu'une de ses proches collaboratrices connaissait et aimait le travail fourni par les équipes de la Blogothèque. Tout est parti de là", poursuit-il.

Alors, malgré l'angoisse, l'excitation et l'appréhension de ces "petits Français" comme aime le dire Christophe Abric, c'est une équipe de 6 personnes qui a rejoint l'équipe américaine de Justin Timberlake en décembre dernier à Los Angeles avec un défi de taille: tourner le clip en un mois.

L'avenir du clip: la performance live

"Nous n'avons jamais fait de vidéo avec une ambition pareille", confie Christophe Abric qui a endossé le rôle du créateur. "Justin a accepté notre marque de fabrique et nous, les exigences d'une grosse équipe", explique t-il.

Au programme du clip réalisé par Arturo Perez JR: un plan séquence ininterrompu de plus de six minutes où l'on suit le chanteur accompagné de Chris Stapleton dans le prestigieux Bradbury Building et, beaucoup de micros.

Adieu le playback, c'est une performance enregistrée en live que livrent les deux chanteurs: "Justin voulait quelque chose d'authentique. Il voulait montrer qu'il n'était pas simplement une machine à tubes mais surtout, un artiste. Il est très juste dans sa voix et contrôle chacun de ses mouvement. Il est très professionnel et investi dans son travail", raconte Christophe Abric.

Finalement, cette nouvelle expérience aura permis à la Blogothèque de prendre encore un peu plus de hauteur: "On se sent comme des 'petits Français' à côté. On se frotte à des artistes très entourés, calibrés. On franchit sans cesse de nouvelles frontières, un peu comme dans un jeu vidéo, et c'est ce qui nous plaît" conclut-il.

Illustration réalisée par Sarah Ulrici..

Sarah raconte des histoires, depuis toujours et d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Son trait à la fois souple et solide, sa manière de capter l'instant, son regard mi-amusé, mi-inquiet sur ses contemporains, rappelle tantôt Christophe Blain, tantôt Philippe Dupuy ou Charles Berberian. Quand elle ne dessine pas, elle court, très vite, derrière un ballon ovale et sur un terrain de rugby. Voir d'autres œuvres de cet auteur sur son blog.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Anthony Delon réagit aux dernières déclarations de son père

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PEOPLE - Ce n'était pas l'ambiance sympathique Carpool Karaoke de James Corden qui régnait dans la voiture pendant l'interview d'Anthony Delon organisée par Yahoo. Le fils du célébrissime acteur Alain Delon s'est exprimé sur les récentes déclarations de son père.

Dans une interview publiée par Paris Match le jeudi 11 janvier, l'acteur de 82 ans disait qu'il quittera "ce monde sans regrets" avant de rajouter: "La vie ne m'apporte plus grand-chose. J'ai tout connu, tout vu. Mais surtout, je hais cette époque, je la vomis". L'homme aux yeux bleu acier précisait également dans cet entretien qu'il souhaitait être enterré aux côtés de ses chiens, dans le jardin de propriété où une cinquantaine de ses anciens compagnons sont eux mêmes enterrés... Par ailleurs, il avait soulevé une vague d'indignation en indiquant qu'il ferait piquer son chien afin qu'il parte en même temps que lui. Le comédien semble donc avoir tout prévu pour le jour où il quittera le monde des vivants.

Dans l'interview donnée à Yahoo, Anthony Delon ne semble guère étonné par les propos de son père sur la vie et la mort: "Nous, on l'entend depuis des années", tranche l'acteur de 54 ans avant de poursuivre: "Je pense que la vie lui a repris ce qu'elle lui a donné. La vie lui a tout donné. La beauté. Le succès. Mais quand la vie te donne tout, il faut que tu capitalises. Quand on te donne quelque chose, il faut le rendre. Aujourd'hui, il est seul, il est malheureux,... Mais bon, son malheur, on se le creuse soi-même". Des propos froids et tranchants, surtout quand on connaît les rapports très "occasionnels" entre les deux hommes.

Père de deux jeunes filles de 16 et 22 ans, Anthony Delon insiste en faisant connaître son intention de ne pas reproduire les mêmes erreurs que son père. Et quand le journaliste demande à l'acteur quand lui, Anthony Delon, a réussi à "tuer le père", le comédien reste silencieux et se fend d'un "C'est compliqué"...

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Fashion Week de Paris: les "blandes" à l'honneur du défilé de Rabih Kayrouz

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MODE - Le créateur libanais Rabih Kayrouz a célébré les femmes de tous âges, enrôlant la journaliste française Sophie Fontanel et plusieurs mannequins à chevelure blanche, ce jeudi 25 janvier pour le dernier jour de la semaine de la haute couture.

Dans la cathédrale américaine de Paris, Rabih Kayrouz a présenté une collection aux silhouettes amples et épurées, où se mêlaient les matières brillantes et laineuses, les motifs floraux d'une tapisserie ancienne et la modernité d'un orange flashy.

Le défilé a donné lieu à une chorégraphie de la danseuse étoile Marie-Agnès Gillot, que le créateur avait déjà fait venir lors d'un show précédent. Telle une tragédienne, elle fait irruption dans le défilé entre deux mannequins impassibles. Se précipite tout à coup sur l'une d'elle, avance tel un animal traqué, roule, allongée à terre, jusqu'aux pieds du public.

Autre invitée du défilé, la journaliste Sophie Fontanel qui a foulé le podium, tout sourire, arborant fièrement comme plusieurs autres mannequins sa chevelure blanche. Des cheveux qui sont la matière de son dernier livre, "Une apparition", dans lequel elle relate comment et pourquoi elle a arrêté les colorations.

Christophe Josse de retour

La quatrième et dernière journée de ces défilés parisiens de haute couture a aussi été marquée par le retour de Christophe Josse, avec une collection d'inspiration pastorale.

Le créateur français, qui avait arrêté les défilés en 2013, revient à la haute couture après une incursion dans le prêt-à-porter. Cet ancien de la maison de haute couture Torrente, où il a passé près de quinze ans, a présenté des modèles mêlant raffinement et épure, matières brutes et ornements précieux.

At @christophejosse #pfw #christophejosse #hautecouture #ss18 thank you @totem_fashion 💖

Une publication partagée par Oh! Mes gars (@ohmesgars) le

Dans cette collection à la palette douce et neutre, aux tons sable, seigle et blé, les paysannes chics portent des sandales de cordes agrémentées d'un bijou de verre soufflé lustré d'or, des jupes en crochet, des t-shirts en toile de jute rehaussés de broderies, de larges jupes rebrodées.

Illustration réalisée par Thomas Gavel.

Enfant Thomas recopiait ses livres jeunesses d'animaux, dessinait ses héros préférés sur la moindre feuille à portée de main. Son BAC littéraire en poche, Thomas entre en licence Langues étrangères appliquées à l'université de Nanterre. Après un an, il entre au CESAN pour explorer sa passion du dessin.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Angoulême 2018: toutes les unes du "HuffPost" illustrées en dessins pour l'ouverture du Festival de la BD

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ANGOULÊME 2018 - Pour la cinquième année consécutive, Le HuffPost a illustré tous ses articles en dessin. C'est à l'occasion de l'ouverture, ce jeudi 25 janvier, du 45e Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême que les lecteurs ont pu découvrir l'actualité sous un autre prisme.

Toute la journée, de 00h01 à 23h59, l'intégralité des articles de la rédaction et des Blogs de nos contributeurs a été illustrée par les élèves du Cesan, la première école de BD à Paris, qui forme ses étudiants aux arts narratifs appliqués.

Avec leurs crayons et leurs tablettes graphiques, ces dessinateurs en herbe ont eu une totale liberté de ton pour laisser place à leur imagination. Cela donne plusieurs dizaines de dessins qui ont accompagné des articles habituellement ornés d'une photographie factuelle ou d'illustration.

Vous êtes des millions à le savoir, la "une" du HuffPost est modifiée chaque heure en fonction d'un impératif d'actualité chaude ou d'un choix éditorial. Les 24 heures en BD ont ainsi vu se succéder plusieurs articles en tête du site, des "splashs" dans notre jargon, que vous pouvez retrouver ci-dessous, aux moments clefs de la journée.

8h

11h

13h

16h

19h

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Le mois de janvier est vraiment sans fin et cette Une du "New Yorker" le montre

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HIVER - D'une grippe à un rhume, d'un rideau de pluie infinie à un ciel morne et triste. L'artiste Roz Chast signe la Une du New Yorker de la semaine du 29 janvier 2018, l'occasion de dire enfin au revoir à ce triste mois à travers un calendrier de l'Avent plus vrai que nature.

Le mois "le plus cruel" de l'année, selon les dires de l'artiste, commence par une gueule de bois, suivie d'une perte de clés dans la neige, d'une tempête ou encore d'une chute sur un sol verglacé.

Il se poursuit avec un lever de soleil à 11h du matin, du froid, du gris, de l'humidité, les trois en même temps. Mais aussi les morsures du froid, l'oubli de l'écharpe tricotée à la main dans le train, d'une grippe, d'une envie terrible de faire une séance de bronzage en cabine ou même d'un rendez-vous chez le dentiste.

"Je voulais simplement montrer l'horreur que représente janvier. L'hiver est vraiment là, il ne reste plus rien de l'automne. À partir de 16h30, la nuit tombe et je me dis, ''est-ce que j'ai besoin de quelque chose? Mais pourquoi s'embêter? Pourquoi chercher les complications? Aucune motivation pour sortir. Genre le mois du pourquoi ne pas ouvrir une boîte de thon?'".

Illustration réalisée par Yihong Ma.

Yihong est née en Chine en 1991. En grandissant, elle choisit d'étudier l'animation tout en découvrant le merveilleux monde de l'illustration. Elle arrive en France pour faire des études d'art contemporain. Finalement attirée par la narration, elle décide d'intégrer le CESAN à Paris. Elle développe alors son amour pour les histoires en construisant univers sur univers, tous plus riches visuellement les uns que les autres.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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L'interrogatoire ahurissant de Jawad Bendaoud pendant son procès

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JUSTICE - Après Mohamed Soumah, c'est son complice le "logeur" du 13-Novembre Jawad Bendaoud qui est apparu ce jeudi 25 janvier devant la 16e chambre du tribunal correctionnel de Paris pour être entendu.

Face à des victimes des attentats et une foule de journalistes, son interrogatoire a débuté en fin d'après-midi avec des questions sur sa jeunesse, son CV et les différents métiers qu'il a pu exercer avant ses allers-retours en prison.

Après avoir abordé sa consommation de drogues dures -et demandé à l'assistance "si quelqu'un prend de la cocaïne dans la salle"-, Jawad Bendaoud s'est défendu devant la présidente Isabelle Prévost-Desprez d'avoir été au courant des plans des personnes qu'il logeait.

"Je n'avais pas saisi que j'allais me retrouver dans une affaire de terroristes avec 130 morts et des centaines de blessés. À aucun moment je ne me suis dit que les gens que m'a ramenés Mohamed Soumah sont des terroristes", a-t-il assuré.

Ce dernier a reconnu avoir été "con" car il y avait des signes qui aurait dû lui mettre la puce à l'oreille, comme quand "Abaaoud lui a demandé de quel côté on faisait la prière". Pourquoi héberger des gens qu'il ne connaît pas? "Je fais ça depuis longtemps, c'est mon activité", a-t-il répondu en expliquant "recruter par bouche-à-oreille, bouche-à-bouche".

"On m'a vendu un bœuf bourguignon, j'ai fini avec un couscous. Personne ne m'a mis au courant. Sur la tête de mon fils, je ne savais pas que c'était des terroristes", a continué Jawad Bendaoud.

Le logeur a, semble-t-il, aussi longuement parlé à Isabelle Prévost-Desprez d'un sandwich à base de dinde et Boursin qu'il avait mangé ce soir-là. Avant d'avancer que si son ADN avait été retrouvé sur une ceinture d'explosif c'est car "dans l'appartement j'ai touché à tout. Le scotch il devait être dans l'appartement et j'ai dû le manipuler".

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Pour la première fois, Google champion du lobbying aux Etats-Unis

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TECHNO - C'est un nouveau record pour Google, mais pas de ceux dont on se vante. Le géant californien, ou plutôt sa maison mère Alphabet, est celui qui a fait le plus de lobbying à Washington en 2017. Une première, selon l'ONG Center for Responsive Politics, qui analyse les dépenses des entreprises dans ce domaine depuis 1998, rapporte le Washington Post ce 23 janvier.

En 12 mois, la compagnie a dépense 18 millions de dollars pour influencer le Congrès, la Maison Blanche et les agences fédérales américaines, selon les chiffres rendus publics par le Sénat américain et compilés par le quotidien.

Si Google est en tête, les autres géants de la Silicon Valley ne sont pas en reste. Facebook a dépensé l'année dernière 11 millions de dollars en lobbying à Washington, Amazon 13 millions et Apple 7 millions de dollars. Et de manière générale, les dépenses des "Gafa", ces quatre entreprises qui contrôlent une bonne partie d'internet, sont en forte hausse depuis 2016.

Historiquement, précise le Washington Post, le lobbying au niveau fédéral était surtout dominé par des sociétés spécialisées dans la défense, l'énergie ou les télécommunications.

La Silicon Valley contre Trump

Comment expliquer une telle montée en puissance de la part de Google et de ses concurrents? Il faut d'abord se rappeler que tous les Gafa se sont opposés à la politique de Donald Trump sur plusieurs sujets: immigration, neutralité du net, changement climatique, réforme fiscale, etc.

Des sujets qui vont à l'encontre de la philosophie de ces sociétés, mais aussi et surtout de leurs intérêts économiques. Il faut rajouter à cela les polémiques qui ont touché Facebook et Google liées aux fake news et le fait que le gouvernement s'inquiète de plus en plus des données personnelles détenues par ces quatre géants.

Des problèmes qui ne se posent pas qu'aux Etats-Unis. L'Union européenne s'intéresse également de près aux capacités quasi-monopolistiques des Gafa. Et ici aussi, le lobbying s'intensifie. D'ailleurs, Google a constamment recruté des fonctionnaires européens ces dernières années pour son lobbying sur le Vieux Continent.

Illustration réalisée par Pauline Poirier.

Assistante mise en scène, Pauline courrait de plateaux en plateaux pour la télévision, les longs et courts métrages. Lasse de ces lieux fourmillants de monde, elle aspire à retrouver une tranquillité pour créer ses propres histoires. Elle part se ressourcer un an en Ecosse avant d'intégrer ce qui est pour elle "une école à taille humaine", le CESAN. Depuis, elle développe sa créativité en créant plusieurs projets personnels. Elle aime aussi les tartes à la myrtille.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Festival d'Angoulême: le "cadavre exquis" des étudiants du Cesan pour le HuffPost

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ANGOULÊME - Pour la cinquième année consécutive, des étudiants du Cesan, école de bande-dessinée et d'illustration parisienne, sont venus dans les locaux du HuffPost pour illustrer la une du site en dessins. Dans l'actualité: Laurent Wauquiez, Emmanuel Macron, les conséquences de l'affaire Weinstein...

Entre deux dessins, six étudiants ont accepté de se prêter au jeu du cadavre exquis. Le principe est simple: il s'agit d'un texte ou d'un dessin réalisé à plusieurs mains, sans concertation, une personne après l'autre. Ici, c'est Guillaume qui a commencé à prendre les crayons pour esquisser une ville, avec quelques arbres et des immeubles.

Et au fur et à mesure, une histoire a pris forme au travers d'un personnage, repris par plusieurs élèves, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article.

Marina Savani.

Marina commence un carrière de brodeuse pour les plus grands noms de la mode (Yves Saint Laurent, Sonia Rykiel, Paul Smith) et part travailler pendant six mois à Bombay. À son retour, elle intègre l'équipe de Chanel et travaille pour Alexander McQueen. Mais depuis toujours elle conçoit la broderie comme un moyen d'expression artistique et le milieu de la mode l'ennuie rapidement. Elle intègre l'école CESAN en 2016. Marina a été Lauréate Jeune Talent du festival d'Angoulême 2016, et du concours Revelationline du Festival d'Angoulême. Marina conte également ses aventures sur instagram.

Guillaume Helft.

Guillaume dessine sans cesse depuis qu'il sait tenir un crayon. Cependant, issu d'une famille de scientifique, il suit sa destinée en se lançant dans des études de physique. Après 8 ans d'analyses scientifiques, il décide d'entrer à l'école CESAN pour exprimer ses réflexions par le biais d'un nouveau média : les arts graphiques et narratifs.

Sarah Ulrici.

Sarah raconte des histoires, depuis toujours et d'aussi loin qu'elle s'en souvienne. Son trait à la fois souple et solide, sa manière de capter l'instant, son regard mi-amusé, mi-inquiet sur ses contemporains, rappelle tantôt Christophe Blain, tantôt Philippe Dupuy ou Charles Berberian. Quand elle ne dessine pas, elle court, très vite, derrière un ballon ovale et sur un terrain de rugby. Voir d'autres œuvres de cet auteur sur son blog.

Sofiane Aïdat.

Sofiane naît en Algérie en 1987. À peine sait-il tenir un crayon qu'il commence à dessiner les super-héros des dessins animés puis à caricaturer ses professeurs et ses camarades de classes. Son baccalauréat de Chimie en poche, il entre aux Beaux-Arts d'Alger où il passera deux années avant de découvrir le FIBDA (Festival International de la Bande Dessinée d'Alger). Sofiane part alors à Paris pour intégrer le CESAN pour parfaire sa passion de la bande dessinée. Il n'a pas pour autant laissé tomber son penchant pour la caricature et officie aux alentours de la Tour Eiffel dès que son emploi du temps le lui permet. Suivez ses aventures parisiennes sur son instagram.

Claire Le Men.

Au moment de choisir sa voie, Claire décide qu'elle sera médecin et un jour, peut-être, auteure de BD. Pendant son internat en psychiatrie, elle est passionnée par l'histoire de ses patients. Elle a cette idée de bande dessinée qui lui trotte dans la tête. Elle prend une disponibilité, part au Cap Nord à vélo et réfléchit à sa BD. Elle fait ensuite un stage de bande dessinée au CESAN puis décide d'y entrer en cursus continue pour "arrêter de piquer les histoires des autres et raconter elle-même".

Baptiste Daspet.

Baptiste sait qu'il veut être auteur de bande dessinée depuis son entrée en 6e. Il apporte donc quotidiennement ses carnets à dessin en cours au grand dam de ses professeurs. Après deux ans et demi aux Beaux Arts, Baptiste veut créer des mondes imaginaire. Il décide d'entrer au CESAN pour développer sa connaissance des arts graphiques et narratifs.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Festival d'Angoulême: Un dessinateur du Cesan nous livre ses techniques pour caricaturer Macron comme un pro

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FESTIVAL D'ANGOULÊME - Comme chaque année depuis cinq ans, au HuffPost, on marque le début de cette grand-messe de la bande dessinée qu'est le Festival d'Angoulême en illustrant tous nos articles par des dessins, et ce pendant 24 heures.

Ce jeudi 25 janvier, la rédaction a de nouveau accueilli les étudiants du Cesan, première école de bande dessinée et d'illustration à Paris. L'un d'entre eux, Sofiane Aïdat, nous a livré ses techniques pour caricaturer Emmanuel Macron.

Vous pouvez voir toutes ses astuces pour dessiner le président avec humour dans notre vidéo en tête d'article.

Illustration réalisée par Sofiane Aïdat.

Sofiane naît en Algérie en 1987. À peine sait-il tenir un crayon qu'il commence à dessiner les super-héros des dessins animés puis à caricaturer ses professeurs et ses camarades de classes. Son baccalauréat de Chimie en poche, il entre aux Beaux-Arts d'Alger où il passera deux années avant de découvrir le FIBDA (Festival International de la Bande Dessinée d'Alger). Sofiane part alors à Paris pour intégrer le CESAN pour parfaire sa passion de la bande dessinée. Il n'a pas pour autant laissé tomber son penchant pour la caricature et officie aux alentours de la Tour Eiffel dès que son emploi du temps le lui permet. Suivez ses aventures parisiennes sur son instagram.

Jeudi 25 janvier, à l'occasion de l'ouverture du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême, toute la une du HuffPost est illustrée par des élèves du CESAN, première école de bande dessinée à Paris.

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Pendant que vous vous morfondez sous la pluie, ce bébé rhino s'éclate

Nicolas Hulot "aura un plaisir monstrueux à retourner dans l'ombre"

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Hulot

POLITIQUE - Nicolas Hulot a assuré jeudi que son poste de ministre de la Transition écologique et solidaire serait pour lui son "ultime expérience publique". "J'aurai un plaisir monstrueux à retourner dans l'ombre", a-t-il dit sur BFMTV, niant toute appétence nouvelle pour la fonction politique.

"D'ailleurs je peux vous dire c'est mon ultime expérience publique. Après, une fois que l'expérience aura été faite, je m'occuperai de mes enfants, de ma famille, de mes amis et accessoirement un petit peu de moi-même".

Est-il tout de même "heureux", notamment après l'abandon du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes? "Non, car l'enjeu que je porte est bien au-delà de cela, et je ne suis pas en quête de trophées", a-t-il répondu. "Être heureux? Peut-être qu'un jour je serai satisfait si sur 3 ou 4 domaines j'ai créé les conditions d'une transition irréversible comprise et acceptée par les citoyens".

"Pour être heureux il faudrait qu'être ministre soit une fin en soi, il faudrait être ignorant de ce qui va nous arriver si nous ne réussissons pas", a-t-il ajouté.

En attendant, il a de nouveau dit apprécier être dans ce gouvernement: "les relations avec Emmanuel Macron et Edouard Philippe sont rationnelles, ce sont des dialogues, des échanges, chacun fait un pas vers l'autre".

"Edouard Philippe m'a dit 'tu vas voir, on va surprendre tout le monde'. Les gens s'attendent à ce que l'on s'oppose, mais (non car) on a envie de réussir", a-t-il ajouté, se disant aussi "bluffé" par le personnage Macron et sa "conversion" à plus d'écologie.

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L'Emission Politique: Laurent Wauquiez s'arroge le "monopole de l'immigration" du FN (qui ne s'est pas laissé faire)

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POLITIQUE - Sans cesse accusé de vouloir pactiser avec l'extrême droite, Laurent Wauquiez a profité de son passage ce jeudi 25 janvier sur le plateau de L'Emission Politique de France2 pour réaffirmer qu'il s'opposerait à toute alliance avec le Front national de Marine Le Pen. "Il n'y aura jamais d'alliance avec le FN. Par contre je revendique de pouvoir parler avec les électeurs du FN", a-t-il assumé.

"Je ne veux pas laisser le monopole du social à la gauche, je ne veux pas laisser le monopole du discours sur l'immigration à l'extrême droite", a expliqué le président des Républicains alors qu'on l'interrogeait sur les similitudes troublantes de son discours sur l'immigration et celui du FN.

"Vous vous attendez à ce que, pour vous plaire, je fasse une droite qui ne parle pas d'immigration? Que je laisse le monopole du discours sur l'immigration au Front national? C'est hors de question", a répondu le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

"Ça fait trop d'années que la droite a capitulé, qu'elle a renoncé à aborder un certain nombre de thèmes", a poursuivi M. Wauquiez, en citant "la sécurité", "la question du déclassement des classes moyennes" ou celle de "l'intégration républicaine". "Vous pensez que je ne vais pas en parler parce que le Front national en parlerait?", a-t-il encore interrogé.

Préférence nationale et droit du sol

Joignant les promesses à la parole, Laurent Wauquiez n'a eu de cesse de reprendre des propositions longtemps défendues par le parti d'extrême droite. Le chef de file de la droite conservatrice a notamment plaidé en faveur d'une préférence nationale aux prestations sociales, estimant, comme François Fillon avant lui, que les immigrés devraient avoir travaillé au moins trois ans en France avant de pouvoir bénéficier de l'assurance-chômage ou des allocations familiales.

Bataillant ferme sur la question de l'immigration, Laurent Wauquiez a exigé "une remise à plat de la totalité de notre politique d'immigration" tout en estimant vouloir "diminuer d'au moins la moitié le nombre d'immigrés, donc moins de 100.000". "Ce que je souhaite, c'est qu'on remette tout à plat, qu'on s'interroge sur les règles du regroupement familial, qu'on s'interroge sur la mise ne place de quotas par pays et par métiers dans le domaine de l'immigration économique, qu'on remette à plat l'accès aux prestations sociales, parce que ça crée aussi évidemment une turbulence dans notre système d'immigration". "Pour moi, au minimum, on doit être sur trois ans de travail sur le sol français pour pouvoir accéder aux mêmes règles et aux prestations", a-t-il précisé.

Laurent Wauquiez a également envisagé une remise en cause du droit du sol en estimant que "la France donne trop généreusement sa nationalité" tout en assurant que cette mesure s'inspirait des propositions d'Alain Juppé.

Riposte-party au FN sur le thème du "vrai Wauquiez"

Lucide sur la manoeuvre du président des Républicains qui vise à "siphonner" une partie de son électorat en reprenant ses mesures les plus emblématiques, le Front national avait préparé une riposte-party sur les réseaux sociaux en déclinant des visuels sur le thème du "Vrai Wauquiez". Une stratégie de communication déjà étrennée pendant la campagne présidentielle contre François Fillon.

"Loin des beaux discours, #LeVraiWauquiez c'est toujours plus d'avantages pour les étrangers, aux frais des Français", a tweeté le chef de file du FN breton Gilles Pennelle en accompagnant son message d'un visuel montrant Laurent Wauquiez se dissimulant derrière un masque. "Sarkozy-bis sans les talents de comédien, surjoue la fermeté en matière migratoire : il valide pourtant Schengen, qui rend impossible toute résolution des problèmes que connaissent les Calaisiens...", a renchéri le vice-président Steeve Briois.

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