MH17 - Le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines, qui transportait 298 personnes dans une zone ravagée par la guerre civile en Ukraine suscite vendredi la consternation de la communauté internationale, Washington appelant à une enquête "sans entrave" alors que des experts américains avançaient le tir d'un missile sol-air. Une hypothèse étayée par l'Ukraine. Les autorités de Kiev et les rebelles se sont immédiatement accusés d'être responsables du crash.
Vladimir Poutine a estimé vendredi 17 juillet que l'Ukraine "portait la responsabilité de cette terrible tragédie" et que cette catastrophe montrait la nécessité d'un "règlement urgent" de la crise. Pour "permettre aux enquêteurs internationaux un accès sûr et sans entraves au site du crash et afin de faciliter la récupération des restes des corps", les Etats-Unis ont de leur côté appelé "toutes les parties concernées -la Russie, les séparatistes prorusses et l'Ukraine- à un cessez-le-feu immédiat". Les pro-russes ont donné leur accord.
Plusieurs des passagers étaient en route vers l'Australie, via Kuala Lumpur, pour participer à la conférence internationale sur le sida. Outre les 154 Néerlandais à bord, l'avion transportait 43 Malaisiens (dont 15 membres d'équipage), 27 Australiens, 12 Indonésiens, 9 Britanniques, 4 Allemands, 5 Belges, 3 Philippins, un Canadien, selon le dernier décompte fourni par Malaysia Airlines vendredi matin. La nationalité des autres passagers était en cours de vérification. Le président français François Hollande a affirmé jeudi soir que "plusieurs Français pourraient avoir été" dans l'avion.
Suivez ci-dessous les dernières informations sur le crash:
Vladimir Poutine a estimé vendredi 17 juillet que l'Ukraine "portait la responsabilité de cette terrible tragédie" et que cette catastrophe montrait la nécessité d'un "règlement urgent" de la crise. Pour "permettre aux enquêteurs internationaux un accès sûr et sans entraves au site du crash et afin de faciliter la récupération des restes des corps", les Etats-Unis ont de leur côté appelé "toutes les parties concernées -la Russie, les séparatistes prorusses et l'Ukraine- à un cessez-le-feu immédiat". Les pro-russes ont donné leur accord.
Plusieurs des passagers étaient en route vers l'Australie, via Kuala Lumpur, pour participer à la conférence internationale sur le sida. Outre les 154 Néerlandais à bord, l'avion transportait 43 Malaisiens (dont 15 membres d'équipage), 27 Australiens, 12 Indonésiens, 9 Britanniques, 4 Allemands, 5 Belges, 3 Philippins, un Canadien, selon le dernier décompte fourni par Malaysia Airlines vendredi matin. La nationalité des autres passagers était en cours de vérification. Le président français François Hollande a affirmé jeudi soir que "plusieurs Français pourraient avoir été" dans l'avion.
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