INFOGRAPHIE - Elles sont désormais à armes égales. Trois mois après son adversaire socialiste Anne Hidalgo, Nathalie Kosciusko-Morizet, a dévoilé ce mardi 4 mars les ultimes détails de son programme.
Brandissant un document de 40 pages qui sera distribué à partir d'aujourd'hui aux Parisiens, la candidate UMP à la mairie de Paris est revenue est dans le détail sur ses propositions phares. Pour la première fois, la députée de l'Essonne a également livré le détail du chiffrage de son projet. Alors qu'elle ne parlait jusqu'ici que de stabiliser la pression fiscale, NKM a finalement promis de baisser les impôts des Parisiens de 100 millions d'euros par an dès 2015 si elle est élue.
Elle prévoit en outre d'investir 7 milliards d'euros sur la mandature, contre 8,5 milliards pour sa rivale socialiste Anne Hidalgo. La candidate UMP souhaite également diminuer les dépenses d'un milliard d'euros sur six ans, en luttant contre l'absentéisme des agents (300 millions d'euros), en diminuant les effectifs de 2.500 postes "dans la technostructure" (225), en mettant fin "à des pratiques de mauvaise gestion" (175) et en réduisant le train de vie de la mairie (300).
Le HuffPost vous propose de comparer, point par point, les priorités des deux candidates pour l'avenir de la capitale.
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Brandissant un document de 40 pages qui sera distribué à partir d'aujourd'hui aux Parisiens, la candidate UMP à la mairie de Paris est revenue est dans le détail sur ses propositions phares. Pour la première fois, la députée de l'Essonne a également livré le détail du chiffrage de son projet. Alors qu'elle ne parlait jusqu'ici que de stabiliser la pression fiscale, NKM a finalement promis de baisser les impôts des Parisiens de 100 millions d'euros par an dès 2015 si elle est élue.
LIRE AUSSI - Demandez le programme: ce que peut et ne peut pas faire le maire de Paris
Elle prévoit en outre d'investir 7 milliards d'euros sur la mandature, contre 8,5 milliards pour sa rivale socialiste Anne Hidalgo. La candidate UMP souhaite également diminuer les dépenses d'un milliard d'euros sur six ans, en luttant contre l'absentéisme des agents (300 millions d'euros), en diminuant les effectifs de 2.500 postes "dans la technostructure" (225), en mettant fin "à des pratiques de mauvaise gestion" (175) et en réduisant le train de vie de la mairie (300).
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