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Un astéroïde venu d'un autre système solaire nous aurait rendu visite, du jamais vu

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Un astéroïde venu d'un autre système solaire nous aurait rendu visite, du jamais vu

ESPACE - Si l'on connait surtout les planètes et les lunes de notre système solaire, l'espace autour de nous est peuplé de plusieurs centaines de milliers de petits objets: planètes mineures, astéroïdes, météorites et comètes. C'est le travail du Minor Planet Center de lister toutes les observations de ces astres.

Et vu qu'on en a déjà découvert 739.476, un de plus, ça ne fait pas beaucoup de bruit. Enfin, sauf ce mercredi 25 octobre. Le centre annonce, tôt le matin, avoir détecté un nouvel objet dans le ciel. Son nom? A/2017 U1.

Ce petit astre est très particulier. Son orbite est tellement excentrique qu'il pourrait bien être le premier objet provenant d'un autre système solaire. Normalement, la plupart des corps célestes qui se trouvent dans nos environs tournent autour du Soleil, d'une manière ou d'une autre.

Mais A/2017 U1 arrive lui sur un axe très rare, totalement excentré. On a l'impression qu'il fait un simple coucou au Soleil et repart aussitôt, comme on peut le voir sur cette orbite simulée par Tony Dunn via orbitsimulator.com:

Mais il faut être prudent, rappelle l'astrochimiste Hervé Cottin sur Twitter. Les observations sont assez récentes. La première remonte au 18 octobre. Et s'il a depuis été observé plus de 40 fois, ce n'est pas suffisant pour être certain de l'origine d'A/2017 U1.

C'est une comète ? Non, c'est un astéroïde

Ni même de sa nature, à vrai dire. Ainsi, les 34 premières observations faisaient dire aux spécialistes que cet objet était une comète. Soit un gros bloc de glace et de poussière, qui se réchauffe à mesure qu'il se rapproche d'une étoile, ce qui entraîne la fameuse traînée, appelée queue de comète.

Le Minor Planet Center baptise alors l'objet C/2017 U1. Sauf que mercredi soir à 22 heures, après quelques observations de plus, le centre publie un autre communiqué affirmant que l'objet serait en réalité un astéroïde, soit un corps rocheux. Et le rebaptisent donc A/2017 U1 (A pour astéroïde, C pour comète).

Hervé Cottin précise tout de même que cet objet pourrait être "une comète ayant déjà épuisé sa réserve de glaces".

Encore deux semaines d'observations

Les scientifiques interrogés par le New Scientist, s'ils envisagent clairement la possibilité d'un visiteur venu de loin, ne sont pas pour autant certains que l'astéroïde vient bien d'un autre système solaire. Son orbite extrême est peut-être due à son passage près de Jupiter, par exemple.

Mais si les données sont correctes et qu'il vient bien de très loin, il semblerait qu'il soit parti de la constellation de la Lyre. C'est vers cet ensemble d'étoiles que se dirige, petit à petit, le Soleil.

On devrait en tout cas en savoir plus dans les prochaines semaines, car A/2017 U1 sera encore visible une quinzaine de jours avant de s'évanouir.

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L'élue insoumise Danielle Simonnet a-t-elle le droit de rester dans son logement social à Paris?

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Danielle Simonnet a-t-elle le droit de rester dans son logement social à Paris?

POLITIQUE - Au tour de Danielle Simonnet. Après le couple Garrido-Corbière qui va bientôt déménager, c'est une autre proche de Jean-Luc Mélenchon qui est critiquée pour occuper un logement social de la ville de Paris.

Tel que révélé par Le Parisien mercredi 25 octobre, l'élue France insoumise du 19e arrondissement habite un appartement de 83 m² avec balcon dans le nord-est de Paris dont le loyer est fixé à 1300 euros. C'est entre 30 et 40% moins cher que dans le parc privé pour un bien équivalent.

La conseillère de Paris revendique son droit à habiter dans un tel appartement même si sa justification peut surprendre. "Je ne veux pas me loger dans le privé, enrichir un propriétaire privé et participer à la spéculation immobilière", explique Danielle Simonnet. Mais au-delà des critiques politiques qui peuvent être émises à son endroit -ses adversaires ne s'en privent pas-, il est difficile pour ne pas dire impossible de lui faire un reproche sur le plan légal. "Pour le type de logement qu'elle occupe qui est soumis au droit classique, il n'y a aucun moyen de la priver de son appartement", affirme au HuffPost une source à la Régie immobilière de la Ville de Paris.

Au-delà des règles légales, Danielle Simonnet ne contrevient pas non plus aux engagements politiques et déontologiques en vigueur.

Aucun député et ministre dans le parc social

En 2009, la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) a adopté un nouveau règlement déontologique. Il stipule que parlementaires et ministres sont invités à quitter le logement social qu'ils occupent quand ils accèdent à leur nouvelle fonction. Ce n'est pas le cas de Danielle Simonnet qui est "seulement" conseillère de Paris. C'est en revanche le cas d'Alexis Corbière qui est en train de déménager en Seine-Saint-Denis. "Nous lui avons écrit une lettre pour lui dire qu'un député avait un devoir d'exemplarité et nous lui demandions de quitter son logement dans un délai raisonnable. C'est la procédure que nous faisons avec tous les élus sauf une. Suppléante de Jean-Marie Le Guen, Anne-Christine Lang avait pris les devants en nous écrivant dès 2014 pour dire qu'elle quittait son logement", explique-t-on à la RIVP.

Aucun logement social attribué à un conseiller en fonction

Après son élection en 2008, Anne Hidalgo a repris une règle édictée par Bertrand Delanoë: ne pas attribuer de logement social à un conseiller de Paris. "Les élus qui occupent actuellement des logements relevant des droits de réservation de la Ville ou du parc de ses bailleurs se les sont vus attribuer avant 2001, ou ont été élus postérieurement à l'attribution", expliquait-elle en 2014. Or le logement de Danielle Simonnet lui a été attribué en 2003 à une époque où elle n'était pas encore conseillère de Paris. Elle n'a été élue qu'en 2008 à ce poste; au moment de l'entrée dans ce logement, elle était conseillère d'arrondissement mais avait intégré son premier logement social en 1999 alors qu'elle était encore sans mandat. Pendant la campagne municipale, Anne Hidalgo s'était engagée à ce que les conseillers élus sur sa liste quittent leur logement social en cas d'élection. Seulement Danielle Simonnet est une élue France insoumise et pas de la majorité parisienne. En clair, la maire a beau l'inciter à quitter son logement, elle n'a pas les moyens de la contraindre. "Quant au code de déontologie de la mairie, il évoque une incompatibilité entre le mandat de conseiller de Paris et le logement HLM, ce qui n'est pas le cas de Danielle Simonnet. Mais dans tous les cas, on ne pourrait débrancher l'élu de son mandat ni de son logement", précise l'entourage de la maire de Paris.

Un surloyer comme tout le monde si...

Dans Le Parisien, l'adjoint au logement de la Ville de Paris, le communiste Ian Brossat rappelle que le logement occupé par Danielle Simonnet n'est pas "de la catégorie HLM mais un loyer libre". Cela concerne environ 10.000 des 50.000 logements de la RIVP. "Depuis 2009, nous avons mis des conditions de ressources pour y accéder mais ce n'était pas le cas avant quand Madame Simonnet a eu son appartement", explique la RIVP. Ces appartements ne sont pas soumis aux surloyers pratiqués par exemple dans les HLM quand les ressources des locataires dépassent le plafond. "Avec ce genre d'appartement, il n'y a pas non plus la règle qui fait qu'au-delà de 200% du plafond des ressources, un locataire perd le droit au maintien dans son logement", précise-t-on à la RIVP. Pour toutes ces raisons, Danielle Simonnet peut parfaitement rester dans son appartement.

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Comme dans "Là haut", il a voyagé à l'aide de 100 ballons gonflés à l'hélium

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VOYAGE - Qui n'a pas rêvé, depuis avoir vu le film "Là haut", de tenter l'expérience? De gonfler des ballons à l'hélium pour s'élever dans les airs? Tom Morgan, directeur d'une agence de voyage britannique, a décidé de se lancer.

Il a donc, avec son équipe, passé deux jours à gonfler 100 ballons, racontent nos confrères du HuffPost britannique. Il a pu parcourir 24 km, à plus de 2.500 mètres du sol. On vous laisse admirer les images dans la vidéo ci-dessus.

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La version honnête de "Tout va bien" d'Orelsan

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La version honnête de

CULTURE - C'est l'un des morceaux les plus forts du nouvel album ("La fête est finie") d'Orelsan sorti le 20 octobre et disque d'or en trois jours à peine. Dans le titre "Tout va bien", le rappeur de Caen s'adresse à un enfant et lui ment pour lui cacher la misère, les violences conjugales et la guerre.

En écoutant ce morceau, le YouTubeur "Seb la Frite" a eu l'idée d'en faire une version "honnête". Quand Orelsan fait croire que "tout va bien", lui rétablit la vérité à chaque fin de phrase.

"Si le monsieur dort dehors, (c'est qu'il est à la rue), c'est qu'il aime le bruit des voitures (qu'il est sdf)

S'il s'amuse à faire le mort, c'est qu'il joue avec les statues (il est peut-être mort)

Et si un jour il a disparu (c'est qu'il est mort) c'est qu'il est devenu millionnaire (mort !)

C'est qu'il est sûrement sur une île avec un palmier dans sa bière (il parle d'une tombe)

Tout va bien (en fait ça va pas du tout), tout va bien (il ment !) petit tout va bien..."

L'idée a plu aux abonnés du YouTubeur puisque le tweet a été partagé près de 5000 fois et aimé à plus de 9000 reprises en quelques heures.

Et si certains se demandent si cette version honnête de "Tout va bien" a demandé beaucoup de travail à Seb la Frite, ce dernier répond à la question dans l'un des commentaires:

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Accusation d'emploi fictif: "Capital" répond au démenti et la plainte d'Anne Hidalgo

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Accusation d'emploi fictif:

POLITIQUE - Capital persiste et signe. Mercredi 25 octobre, le mensuel économique a publié une enquête dans laquelle il affirme détenir des preuves que la maire de Paris, Anne Hidalgo, a bénéficié d'un "emploi fictif" au début des années 2000. Des accusations que l'édile parisienne "conteste avec la plus grande fermeté", selon un communiqué publié dans la foulée.

"Face a cette atteinte grave à son honneur et à sa probité, elle annonce sa décision de porter plainte pour diffamation", indiquent les services de la mairie de Paris.

"Face aux accusations qui avaient été portées contre elle sur ce même sujet par un syndicaliste, le ministère du Travail et Anne Hidalgo avaient déjà fourni à la justice tous les éléments permettant de confirmer la légalité de sa situation", poursuit le communiqué, qui note au passage que l'auteur de l'article a déjà été condamné en diffamation pour avoir accusé Bertrand Delanoë d'avoir monté un système d'emplois fictifs (communiqué ci-dessous).

Ce jeudi 26 octobre, Capitalpublie un nouvel article remettant en cause la défense d'Anne Hidalgo. Selon le magazine, l'argument du congé maternité mis en avant par la socialiste ne suffit pas. "D'abord parce que ledit congé ne s'est évidemment pas prolongé pendant les 26 mois incriminés. Et puis parce qu'il n'a pas pu commencer en mars 2001, au lendemain de son élection, comme Anne Hidalgo tente de le faire croire", écrit Capital. Anne Hidalgo ne précise pas dans son communiqué sur quelle période ce congé s'est étalé.

Dans sa défense, la maire de Paris indique que, "à l'issue de ce congé maternité, elle a demandé au ministère du Travail d'être placée en position de détachement avec cessation du paiement de sa rémunération". Ce que conteste Capital. "Nous n'avons trouvé aucune trace de cette demande dans notre enquête, et aucun témoignage n'est venu la corroborer", assure le mensuel qui ajoute: "Si elle l'avait fait, elle n'aurait certainement pas continué d'être payée pendant 9 mois, jusqu'en janvier 2003, sans exercer la moindre fonction au ministère".

Chronologie des faits

Inspectrice du travail auprès de la direction régionale d'Ile-de-France, Anne Hidalgo a été successivement détachée auprès du ministère du Travail puis, à partir de novembre 2000, auprès de la ministre socialiste Marylise Lebranchu. Après la victoire de la gauche en 2001, l'élue du 15e arrondissement devient première adjointe du nouveau maire de Paris tout en restant officiellement rattachée au ministère.

En 2002, le retour de la droite au pouvoir marque la dissolution du cabinet de Marylise Lebranchu. Anne Hidalgo réintègre la direction régionale du travail. Mais ce n'est qu'en janvier 2003 qu'un arrêté la place rétroactivement en position de détachement à la Mairie de Paris. Anne Hidalgo doit alors rembourser 21.659,05 euros de salaires.

Capital reproche toutefois la maire de Paris d'avoir indûment perçu près de 80.000 euros de salaire, en s'appuyant notamment sur les accusations du syndicat Sud-Travail. Ce dernier avait entamé une procédure devant le tribunal administratif pour obtenir le remboursement des salaires perçus dès sa nomination au ministère de la Justice. Le tribunal administratif a donné raison à l'édile.

L'enquête de Capital évoque (pour aussitôt l'écarter) le fait qu'Anne Hidalgo était enceinte de son troisième enfant pendant une partie de la période où il l'accuse d'avoir indûment touché son salaire de conseillère ministérielle. La maire de Paris indique qu'elle a exercé son droit au congé maternité.

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Des fans de Star Wars transforment un bunker anti-atomique de la Guerre froide en R2-D2

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Un bunker reconditionné en R2-D2 à Prague en République Tchèque.

STAR WARS - La sortie prévue en décembre prochain du huitième épisode intitulé "Les derniers Jedi" de la saga à succès Star Wars semble être une source d'inspiration pour certains artistes de rue en République Tchèque.

C'est en tout cas ce qui vient à l'esprit après avoir vu le travail réalisé au parc Folimanka situé à Prague. Le célèbre et emblématique robot R2-D2 présent dans les sept films de la série a fait "sa réapparition" dans la capitale tchèque ces derniers jours.

L'œuvre appréciée par la maire

Découvert le 20 octobre dernier par le Prague TV, l'œuvre mérite effectivement le coup d'œil. Selon les informations du média local, un groupe d'inconnus a profité de l'ouverture au public d'un bunker situé dans un parc pour mettre en illustration le personnage iconique de Star Wars: R2-D2. A ce titre, le ou les auteurs ne se sont pas manifestés. Compte tenu du travail fourni, le média évoque davantage une petite bande.

#r2d2 #streetart #prague

Une publication partagée par Karel Beran (@beran_karel) le

A l'origine, cet abri anti-nucléaire remonte à l'époque de la Guerre froide. D'une superficie de 1332 mètres carrés, cette forteresse aurait pu accueillir jusqu'à 1260 personnes. Son existence dépasse le "simple cadre martial" puisque l'abri a été classé secret défense par l'Etat après la Révolution de Velours de 1989.

Depuis la moitié de l'année 2017, le lieu est ouvert au public. Selon les journalistes sur place, cette ouverture a sans doute permis aux auteurs de prendre conscience du "potentiel artistique" de la construction. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, les artistes se sont attelés à reproduire grandeur nature le robot.

Les couleurs (bleu, blanc, noir, rouge) ont donc été reproduites fidèlement et deux blocs de béton ont été disposés sur les côtés pour représenter "les jambes" du droïde. Un panneau rédigé en tchèque avait même été positionné sur un lampadaire à proximité pour exhorter les gens à ne pas endommager l'œuvre. Il s'agissait cependant d'un panneau non-officiel, vraisemblablement placé par les auteurs, comme l'a précisé Prague TV.

Interrogée par le magazine tchèque Blesk, la maire de la capitale tchèque, Jana Cernochova, reconnaît la prouesse tout en considérant le cadre légal: "Nous ne soutenons pas la peinture au pistolet illégale, mais nous aimons ce décor sur ce puits disgracieux. Où d'autre devrait être le robot que dans le quartier de la ville ainsi associé à Karel Capek?"

Dans sa déclaration, la femme politique fait référence à l'auteur du terme "robot", l'écrivain tchèque Karel Capek (1890-1938). A l'origine de la pièce de théâtre de science-fiction intitulée "R. U. R." (pour "Rossum's Universal Robots") en 1920, il est le premier à avoir populariser ce mot provenant du tchèque "robota" (qui signifie "travail", "servage").

Au-delà de la référence à Star Wars, les artistes ont peut-être tout simplement voulu lui rendre hommage à moins que ces derniers aient souhaité saluer le père de R2-D2, Tony Dyson, décédé le 4 mars dernier à l'âge de 68 ans.

Pour l'instant, aucune décision n'a été prise concernant "l'avenir de cette œuvre". A ce titre, le HuffPost a contacté la ville de Prague.

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Marilyn Manson se sépare de Jeordie White, son bassiste accusé de viol

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Marilyn Manson se sépare de son bassiste accusé de viol.

MUSIQUE - Ce mardi 24 octobre, le chanteur et compositeur Marilyn Manson a annoncé, sur son compte Twitter, se séparer de son bassiste Jeordie White, qui l'a accompagné entre 1993 et 2002, avant de faire une pause et de revenir dans le groupe, en 2008.

La décision a été prise alors que Jeordie White, également connu sous le nom de Twiggy Ramirez, a été accusé, ce vendredi 20 octobre, de viol par la chanteuse Jessicka Addams.

"J'ai décidé de me séparer de Jeordie White comme membre de Marilyn Manson. Il sera remplacé pour la prochaine tournée. Je lui souhaite le meilleur."

Dans son message, Marilyn Manson n'a pas précisé si sa décision était liée à ces révélations, mais il a toutefois indiqué que son bassiste sera remplacé dès sa prochaine tournée. De son côté, Jessicka Addams a remercié le chanteur, dans un message également partagé sur son compte Twitter: "Merci. Très sincèrement, les mots me manquent".

"J'ai été violée par quelqu'un que je croyais aimer"

Vendredi dernier, la chanteuse s'est confiée sur sa page Facebook, sur ce qui lui était arrivée avec Jeordie White, alors qu'elle n'avait que 18 ans. Elle explique que le bassiste et elle étaient en couple dans les années 1990, mais qu'au fil de leur relation et de sa notoriété, il était devenu de plus en plus jaloux et brutal avec elle.

"La violence physique a commencé plus tard, quand Jeordie a pris la cage de nos souris et qu'il l'a jetée sur la voiture de ma mère. C'est la première fois que je me souviens de lui qui me frappait encore et encore, pendant que les souris se dispersaient".

Pendant une tournée avec le groupe Nine Inch Nails sur lequel Jeordie White était également présent, elle raconte qu'il lui a rendu visite alors qu'elle logeait chez un ami.

"Il m'a forcée à m'étendre sur la sol, avec sa main autour de mon cou. J'ai dit non. J'ai dit non. Je l'ai dit si fort, que Pete est venu d'une autre pièce pour l'enlever de moi. Mais j'ai été violée. J'ai été violée par quelqu'un que je croyais aimer."

Dans son message, elle revient sur les conséquences qu'a eu ce viol sur sa carrière. "J'ai vécu avec la honte et l'écrasante culpabilité d'avoir été violée, depuis plus de 20 ans maintenant". Jessicka Addams raconte aussi qu'elle a subi des pressions de la part de la maison de disques de son groupe, qui l'a menacée de laisser son groupe de côté, si elle parlait.

"Pour que nous, les femmes, ayons du pouvoir, il faut qu'on se serre les coudes. C'est le seul moyen que nous avons pour affronter et combattre les hommes qui pensent détenir une supériorité sur nous. Je suis reconnaissante de savoir qu'il y a des hommes qui ne partagent pas cette idéologie grossière et se tiennent à nos côtés", conclut-elle en signant son message.

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Les dessins de ce mari avec sa femme illustrent à la perfection les petites manies de la vie de couple

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VIE DE COUPLE - Après huit ans de vie de couple, l'artiste Yehuda Devir et sa femme Maya sont passés par des hauts, des bas, et tout ce qu'il y a entre les deux.

Leur relation lui a donné une matière importante pour sa série d'illustrations "One of Those Days" (Un de ces jours), qui raconte la vie quotidienne du couple sous la forme de bandes dessinées, auxquelles on peut facilement s'identifier.

L'artiste, qui habite Tel-Aviv, en Israël, explique au HuffPost américainqu'il travaille souvent avec Maya sur cette série. Elle l'aide à trouver les idées, composer l'image et choisir les couleurs. Puis Yehuda Devir réalise les illustrations.

Yehuda and Maya began dating in 2010 and married in 2016.

"Maya est aussi une artiste très talentueuse", raconte-t-il. "Meilleure que moi je pense. Mais elle ne serait pas contente que je le dise."

La série "One of Those Days" immortalise la vie quotidienne du couple. L'inspiration derrière cette illustration? L'obsession de Maya pour "Game of Thrones".

Toutes les illustrations de cette série s'inspirent de vrais moments et expériences que le couple a partagés, avec quelques exagérations, pour le côté artistique.

"Nous n'illustrons pas des moments que nous n'avons pas vécus, parce que sinon cela affecterait l'authenticité de l'histoire", argumente Yehuda Devir.

All of the illustrations are based on the couple's real-life banter.

"-Bébé, tu devrais arrêter de manger tes ongles. -Jamais!"

"Nous nous sommes disputés."

Les deux amoureux se sont d'abord rencontrés dans l'armée, puis sont devenus des amis proches avant de finalement entamer une relation plus intime.

"Ce qui fait que notre relation marche très bien depuis le début, c'est que nous étions de très bons amis avant", témoigne Yehuda Devir. "Nous nous respectons hautement mutuellement et nous acceptons chacun les qualités et les défauts de l'autre."

Le couple, en photo ci-dessus, tient à remercier tous ceux qui les suivent pour leur soutien.

Yehuda Devir poursuit: "Tous ces moments ensemble -les bons et les moins bons- c'est ce qui rend notre relation spéciale".

Découvrez d'autres dessins de Yehuda Devir ci-dessous. Pour voir davantage de ses œuvres, vous pouvez visiter son site, ou le suivre sur Facebook ou Instagram.

"Laisse moi seule! Je suis vieille!"

"Ferme-la!"

"Quoi?"

"Je vais venir t'aider, j'ai presque fini..."

"Joyeux anniversaire (de mariage)

-Tu t'en es rappelé!

-Comment aurais-je pu oublier?

(Rappel)"

"-Tu n'en as bu qu'une gorgée!

-Et c'en était une bonne!"

"-Quoiiii? Ta coupe est la plus belle et la plus parfaite des choses que ce monde ait vu...

-Je suis chauve!"

Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost américain, et traduit par Yves Souben.

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#TousConcernés: Michel Cymes raconte les attouchements qu'il a subis, adolescent, dans le métro

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#TousConcernés: Michel Cymes raconte les attouchements qu'il a subi, adolescent, dans le métro (7 octobre 2015)

HARCÈLEMENT - 100% des utilisatrices des transports en commun ont subi au moins une fois dans leur vie du harcèlement sexiste ou une agression sexuelle, selon un rapport publié en 2015 par le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes. Et les hommes?

Michel Cymes témoigne ce mercredi 25 octobre dans Le Parisien de l'agression qu'il a subie dans le métro pendant son adolescence. "Moi aussi, lorsque j'avais 15 ans, raconte-t-il, j'ai subi des attouchements par un homme dans le métro. C'est très perturbant. Sur le moment, je n'ai rien osé dire."

Le médecin et animateur télé est interrogé sur le harcèlement sexuel et la libération de la parole des femmes sur le sujet grâce aux hashtags #MeToo et #BalanceTonPorc avec 16 autres personnalités des médias, de la culture, de la gastronomie, de l'entreprise et du sport. Pour répondre à ces hashtags, Le Parisien a lancé #TousConcernés, une initiative qui a été saluée par Marlène Schiappa et de nombreux internautes.

"Quand je vois un homme, en voiture, qui ouvre sa fenêtre pour siffler une femme, affirme aussi Michel Cymes, je trouve ces comportements insupportables. Ce qui me heurte le plus, c'est ce sentiment de pouvoir, ce manque de discernement. Je voudrais que ces mecs s'expriment et me disent ce qu'ils ressentiraient si on plaquait leur femme contre un mur?"

Le médecin critique aussi le hashtag #BalanceTonPorc: "Ces gestes extrêmement déplacés doivent être condamnés, mais je soutiens le fond de ce mouvement, pas la forme. Le hashtag #BalanceTonPorc me gêne, il ne faut pas tomber dans une dénonciation permanente de tout et n'importe quoi".

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#TousConcernés: 16 hommes s'engagent contre le harcèlement sexuel en Une du Parisien

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HARCÈLEMENT - François Hollande, Elie Semoun, Michel Cymes, Julien Clerc, David Pujadas... Seize hommes ont pris la parole ce mercredi 25 octobre dans Le Parisien pour exprimer "leur solidarité avec les femmes" qui, depuis l'affaire Weinstein, sont de plus en plus nombreuses à partager des témoignages de harcèlement ou agressions sexuelles.

Après #MeToo et #BalanceTonPorc, cette Une du Parisien fait émerger un nouveau hashtag: #TousConcernés. Artistes, sportifs, hommes politiques, ces hommes veulent affirmer leur soutien aux femmes et "condamner ces agissements", comme le souligne François Hollande.

"Il n'y a pas que les femmes qui doivent prendre la parole pour dénoncer le harcèlement. C'est toute la société qui doit se lever pour empêcher, dissuader et condamner ces agissements. N'attendons pas une nouvelle loi pour que la justice applique fermement le code pénal sur le harcèlement", avance l'ancien président de la République.

Eli Semoun, lui, confie s'être "senti coupable" quand l'une de ses amies lui a dit ne pas "comprendre le silence des hommes". "J'ai parfois honte de faire partie du clan des hommes, qui semblent n'avoir qu'un sexe à la place du cerveau et je ne m'en exclus pas", poursuit-il.

"La honte doit changer de camp", lance David Pujadas avant d'évoquer ses deux filles de 17 et 22 qui "ont les armes pour se défendre mais cela peut être compliqué en cas d'emprise. J'ai toujours répété cela à mes enfants": si on vous touche, si on se comporte mal avec vous, vous hurlez car personne n'en a le droit. Et n'ayez jamais honte d'en parler."

La couverture du quotidien national et plus généralement l'initiative d'associer les hommes à ce combat contre le harcèlement a été salué sur les réseaux sociaux, à commencer par la Secrétaire d'Etat chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa.

Mais d'autres estiment qu'à travers cette Une, les hommes prennent la parole à la place des premières concernées.

La militante féministe Caroline De Haas explique quant à elle, dans une tribune sur Mediapart, qu'il est "franchement dérangeant, voire carrément insultant" de "découvrir ces hommes tout sourire expliquer qu'il faut lutter contre le harcèlement sexuel et devenir nos alliés". Elle rappelle en effet que les hommes interviewés n'ont pas toujours été les premiers à s'insurger contre les violences sexuelles contre les femmes, loin de là.

Début octobre, un autre hashtag utilisé par les hommes pour témoigner avait émergé sur Facebook et Twitter, #IveDoneThat (j'ai fait ça). Celui-ci avait entraîné quelques messages d'hommes admettant avoir eux-mêmes eu des comportements de harceleurs. Mais très vite, le hashtag avait été critiqué par des femmes, estimant que les hommes prenaient la parole pendant l'une des rares fois où elles occupaient les devants de la scène médiatique. Les hashtags #NotAllMen et #BalanceTonMecSuperCool avaient été critiqués pour les mêmes raisons.

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Des mystérieuses structures de pierre découvertes grâce à Google Earth dans le désert saoudien

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SCIENCE - Près de 400 mystérieuses structures de pierres vraisemblablement créées par l'homme il y a des milliers d'années ont été identifiées dans le désert saoudien par un chercheur australien utilisant Google Earth.

David Kennedy, archéologue à l'Université d'Australie occidentale, qui dirige des équipes de chercheurs ayant recensé des milliers de sites archéologiques au Moyen-Orient, s'est dit ce mercredi 25 octobre incapable d'expliquer la signification de ces formations de pierre, dont les plus vieilles auraient 9000 ans.

"On ne peut les voir de façon intelligible au niveau du sol, mais si vous vous élevez de plusieurs dizaines de mètres, ou plus haut grâce à un satellite, elles apparaissent dans toute leur beauté", a-t-il indiqué dans un communiqué.

"Leur fonction est un mystère"

En dépit de 40 années de recherches dans la région, le chercheur explique avoir été subjugué quand il a repéré pour la première fois sur des images satellites les structures dans des champs de lave d'un ancien volcan.

"Je les ai appelées des 'barrières' car quand vous les regardez d'au-dessus, elles ressemblent à des clôtures de champs mises à plat, avec deux poteaux droits de chaque côté reliés par un ou plusieurs longs traits", a-t-il dit.

"Elles ne ressemblent pas à des structures dans lesquelles des gens auraient vécu, ni à des pièges pour animaux ou des structures pour se débarrasser de cadavres. Leur fonction est un mystère."

Découvertes par un archéologue amateur

Ces découvertes seront détaillées en novembre dans un article publié dans le journal Arabian Archaeology and Epigraphy.

Ces structures furent initialement repérées en 2004 par le Saoudien Abdoullah Al-Saïd, neurologue et archéologue amateur qui avait repéré sur le terrain des murs de pierre, avant d'identifier certaines structures entières en 2008 grâce à Google Earth et de contacter David Kennedy. "Il me dit: 'je m'intéresse au patrimoine de mon pays et j'ai aperçu sur Google Earth d'étranges structures dans les champs de lave'", a raconté David Kennedy à la chaîne ABC.

Spécialiste de l'archéologie aérienne, le chercheur australien et son équipe ont photographié depuis 1997 des dizaines de milliers de structures en pierre, essentiellement en Jordanie, dont certaines utilisées comme piège de chasse.

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Cet étrange animal qui tourne sur les réseaux sociaux n'est pas un fake. Il existe réellement

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ANIMAUX - Mais quelle est cette créature à l'apparence physique bien particulière ? C'est sans doute la question que vous vous êtes posée après avoir vu cette vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux. Et ce n'est pas un fake comme certains ont pu le penser.

En réalité, il s'agit d'un insecte, plus précisément d'un papillon, portant le nom de "Creatonotos Gangis". Ce petit animal vit principalement en Asie du sud-est (Inde, Sri Lanka, Thaïlande) mais peut également être aperçu dans le nord de l'Australie. La bestiole présente sur la vidéo a d'ailleurs été observée en Indonésie. Certains la découvrent par l'intermédiaire de cette publication mais cette espèce n'a rien de nouvelle ni de mystérieuse, loin de là.

Inoffensif pour l'être humain

Elle a été découverte en 1763 par le biologiste suédois Carl von Linné et retranscrite dans son ouvrage taxinomique intitulé "Centuria Insectorum". Comme vous pouvez le voir ci-dessus, cet insecte porte plusieurs teintures selon la zone du corps. Ses ailes sont noire et beige et son abdomen est largement orange voire rouge avec de petites taches noires et jaunes.

Mais la particularité de cette mite tient évidemment à ses quatre sortes de "tentacules" velues qui sortent de son abdomen. Scientifiquement, celles-ci sont des "coremeta" et ont une importance cruciale.

Ce papillon se nourrit de plantes qui produisent des alcaloïdes pyrrolizidiniques. Une alimentation ô combien importante pour son métabolisme puisqu'elle lui permet de sécréter, au-niveau de ses coremata, de "l'Hydroydanaidal", un phénomène chimique propre aux insectes.

Généralement dotés de ces branches poilues, les lépidoptères mâles les utilisent pour attirer d'éventuels partenaires grâce à la sécrétion évoquée juste au-dessus. Tout est donc parfaitement lié. D'une envergure de 4 cm, ce papillon de nuit s'avère inoffensif malgré son apparence atypique, il ne mord pas et ne pique pas non-plus.

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L'Assemblée nationale se doit de se moderniser, plaçons les citoyens au cœur de la fabrique de la loi

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L'Assemblée nationale se doit de se moderniser, plaçons les citoyens au cœur de la fabrique de la loi

Election après élection, la défiance des citoyens envers les élus ne fait que croître: le sentiment de ne plus être correctement représenté, l'impression de devoir donner un blanc-seing le temps d'une mandature, l'absence de prise en compte des opinions en dehors des périodes électorales, sont autant de mots que l'on entend et de maux qui nous sont reprochés.

Face à ce constat, l'Assemblée nationale ne peut plus faire la sourde oreille. Elle doit s'ouvrir sur la société et redevenir ce qu'elle a toujours été: l'institution de représentation des citoyens.

Le Président de l'Assemblée nationale, François de Rugy a lancé le 20 septembre 2017 un vaste chantier de réformes de l'institution. L'une d'entre elle est entièrement consacrée au thème de la démocratie numérique et des nouvelles formes de participation citoyenne.

Pour se pencher sur ce sujet, un groupe transpartisan composé de députés issus de tous les groupes parlementaires a été constitué. Notre objectif est d'ouvrir les portes de l'institution à l'ensemble des citoyens. Le numérique s'est imposé à nous comme étant le meilleur outil, sans toutefois le couper de la présence sur le terrain. Nous croyons profondément que doit s'articuler une participation citoyenne en ligne et hors ligne, l'une ne pouvant et ne devant se penser sans l'autre.

Dans ce cadre, une consultation a été lancée pour définir le rôle des citoyens dans l'élaboration et l'application de la loi. L'Assemblée nationale a décidé, cette fois-ci de consulter les citoyens sur son fonctionnement. Il s'agit d'une consultation citoyenne d'ampleur, destinée à collecter des propositions concrètes pour intégrer la société civile tout au long du processus législatif.

Nous comptons à ce jour plus de 600 contributions de très bonne qualité. Des ateliers pour alimenter la réflexion sont organisés par des parlementaires et des associations partout en France et à l'étranger. Chaque citoyen peut, par ailleurs, soumettre ses propres propositions ou commenter et voter pour celles auxquelles il adhère. Les meilleurs contributeurs seront invités exposer leurs idées à l'Assemblée Nationale, le 25 novembre. Les propositions collectées sont nombreuses, ce sont autant d'idées à creuser !

Aujourd'hui, les citoyens s'interrogent sur la possibilité de permettre à tout un chacun de proposer un ordre du jour à l'Assemblée nationale. Les citoyens pourraient proposer, par exemple, un ordre du jour, tout comme peuvent le faire aujourd'hui le Gouvernement, l'opposition et la majorité.

Aujourd'hui, les citoyens s'interrogent sur la possibilité d'être consultés au cours de la construction d'un texte de loi. L'Assemblée nationale pourrait avoir l'obligation de consulter régulièrement les citoyens pour connaître leurs points de vue sur un projet de texte, pour être au plus proche de l'impact concret des propositions.

Aujourd'hui, les citoyens s'interrogent sur la possibilité de déposer des amendements citoyens. Les propositions de modification de textes faites par les citoyens pourraient être étudiées en commission ou en séance par les parlementaires.

Aujourd'hui, les citoyens s'interrogent sur la possibilité de permettre un contrôle de la mise en œuvre d'un texte. Les citoyens pourraient suivre et évaluer la mise en œuvre des textes de lois: connaître leur degré d'application, vérifier l'efficacité du texte.

Lors des dernières élections, nous avons assisté à un foisonnement d'initiatives émanant de la société civile pour tenter de reconnecter élus/candidats et citoyens. Nous souhaitons que ce mouvement perdure et s'inscrive dans la durée.

La France a déjà pu expérimenter des consultations citoyennes pour co-construire des textes de lois. Aujourd'hui, nous voulons lancer le débat et connaître l'avis de la société quant à sa possible intégration dans l'ensemble du processus législatif.

L'Assemblée nationale se doit de se moderniser, de s'ouvrir à l'ensemble de la société et permettre aux citoyens de devenir acteurs de la fabrique de la loi. Car s'il ne s'agit pas de substituer la démocratie participative à la démocratie représentative, nous sommes convaincues de la nécessité de mieux prendre en compte les expertises citoyennes dans le travail parlementaire. Pour cela, il nous faut renforcer le dialogue entre les citoyens et leurs représentants.

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États-Unis: contre Donald Trump, deux autres élus rejoignent John McCain

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John McCain va se sentir moins seul, d'autres élus républicains rejoignent la fronde anti-Trump.

ÉTATS-UNIS - Deux sénateurs républicains ont spectaculairement dénoncé Donald Trump mardi 24 octobre, étrillant dans un feu d'artifice de critiques un président "dangereux pour la démocratie" et adepte des "contre-vérités".

La journée devait être placée sous le signe de l'unité du parti majoritaire, avec un rare déplacement du dirigeant au Capitole pour promouvoir un projet de grande baisse d'impôts. Mais Donald Trump a commencé par échanger -une nouvelle fois- des noms d'oiseaux, sur Twitter, avec le président de la commission des Affaires étrangères, Bob Corker, devenu ces dernières semaines l'un des élus républicains les plus critiques du locataire de la Maison Blanche. Il lui a même consacré 5 post d'affilés.

Puis, comme si la majorité ne tanguait pas suffisamment, le sénateur de l'Arizona Jeff Flake a annoncé à la surprise générale qu'il renonçait à briguer un nouveau mandat lors des législatives de novembre 2018, justifiant son départ par la politique délétère sous l'ère Trump. "Quand la génération suivante nous demandera:" Pourquoi n'as-tu pas réagi? Pourquoi n'as-tu pas parlé? Qu'allons-nous dire?", a-t-il argué, rapporte le HuffPost américain.

Trump "dangereux pour la démocratie"

Refusant d'être "complice", Jeff Flake a décrit, la gorge nouée, pourquoi le président étant "dangereux pour la démocratie". Indécence, mépris de la vérité, provocations "mesquines" et pour raisons purement personnelles: "Nous devons arrêter de faire comme si le comportement de certains au sein du pouvoir exécutif était normal", a-t-il dit. "Il n'est pas normal", a martelé Jeff Flake. "Je ne serai ni complice ni silencieux", a-t-il ajouté.

Et l'élu d'Arizona de critiquer la complicité de son propre parti, dévoré par une vague de "colère et de ressentiment", et où il estime n'avoir plus sa place en tant que républicain pro-immigration et attaché au libéralisme économique. Il était menacé sur sa droite aux primaires de l'an prochain, notamment par une candidate encouragée par Donald Trump.

Bob Corker, sénateur du Tennessee, a aussi libéré sa parole à la suite de sa décision récente de ne pas briguer de nouveau mandat. Contrairement à Jeff Flake, il avait soutenu Donald Trump lors de la campagne présidentielle. "Poids-plume" et "incompétent", a tweeté Donald Trump à son encontre mardi. "Mêmes contre-vérités d'un président pas digne de confiance", lui a répondu Bob Corker sur le réseau social.

"Le président a de grandes difficultés avec la vérité, sur de nombreux sujets", a poursuivi l'élu du Tennessee sur CNN. "Quand son mandat sera terminé, l'avilissement de notre pays, les contre-vérités permanentes, les insultes (...) c'est ce qui restera et c'est regrettable".

Un trio avec John McCain

Ces sénateurs forment désormais, avec John McCain, une sorte de trio tenant tête au successeur de Barack Obama. En rompant avec lui au nom des principes, ils font pression sur leurs collègues, qui jusqu'à présent ont préféré faire le dos rond face aux excès présidentiels et rester ostensiblement concentrés sur le fond des réformes.

Même l'ancien président George W. Bush, dans des termes à peine voilés, a la semaine dernière exprimé son inquiétude face à la "cruauté" et "l'intolérance" ambiantes.

A gauche, les collègues démocrates de Jeff Flake lui ont rendu hommage. "Il est tragique que la politique républicaine soit devenue si toxique et insensée que Jeff Flake ne puisse pas 'en conscience' se représenter", a réagi le sénateur Tim Kaine, ancien colistier d'Hillary Clinton.

"Tout ce que vous voyez tous les jours sur Twitter, faut pas y penser"

A la Maison Blanche, la porte-parole Sarah Sanders a justifié ainsi la persistance de Donald Trump à répondre à chaque critique: "Les habitants de ce pays n'ont pas élu quelqu'un de faible, ils ont voulu quelqu'un qui soit fort et qui, quand il est frappé, va répondre".

L'atmosphère est donc loin d'être apaisée alors que s'ouvre le chantier le plus crucial de la fin d'année: la réforme de la fiscalité. Après l'échec de l'abrogation de la réforme de la couverture-maladie de Barack Obama, les républicains n'ont pas le droit à l'erreur. "Nos baisses d'impôts vont restaurer l'avantage compétitif de l'Amérique", a martelé Donald Trump, répétant que les Etats-Unis étaient l'un des pays les plus imposés au monde.

Pour y parvenir, les chefs du Congrès tentent de faire abstraction des accrochages. "Tout ce que vous voyez tous les jours sur Twitter, faut pas y penser", a lâché Paul Ryan, président de la Chambre. "Je ne sais pas combien de fois je dois me répéter, il y a beaucoup de bruit de fond, (...) dans ce pays tout le monde a le droit de s'exprimer", a commenté sèchement Mitch McConnell, l'homme fort du Sénat.

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Pour Halloween, Alizée se la joue Hermione Granger

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PEOPLE - La saison des costumes d'Halloween est lancée. Et six jours avant la soirée déguisée la plus attendue de l'année, certains sont déjà prêts, et d'autres en avance. C'est le cas de la chanteuse Alizée qui a enfilé son costume.

Sur son compte Instagram ce mercredi 25 octobre, la chanteuse a partagé une photo d'elle pleine de magie en compagnie de son mari Grégoire Lyonnet. Elle sous les habits de Hermione Granger, lui avec les lunettes et la cicatrice de Harry Potter, le couple aux couleurs de Gryffondor fête Halloween au studio de danse de ce dernier.

Aujourd'hui on fête Halloween au @studiodedanselyonnetajaccio 🎃 ! #love #dance #happy #halloween #harrypotter #hermione

Une publication partagée par Alizée Lyonnet🍉🌵 (@alizeeofficiel) le

Discrète en 2016, Alizée avait passé un Halloween terrifiant l'année passée. Grimée en Cruella au parc DisneyLand Paris, elle était également apparue en zombie sur son compte Instagram.

Apres le chocolat les zombies ! Happy Halloween 🎃🕸⚰ #halloween #thewalkingdead #makeupbymygirl

Une publication partagée par Alizée Lyonnet🍉🌵 (@alizeeofficiel) le

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La peur des serpents et araignées serait inscrite dans votre ADN

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SCIENCE - Si la simple idée de voir un serpent filer entre vos jambes ou une araignée remonter tranquillement sur votre bras vous glace le sang, c'est sans doute une question de génétique.

Les phobies sont-elles innées ou apprises? Une vaste question à laquelle a tenté de répondre une équipe de scientifiques de l'Institut pour le cognitif humain et la science du cerveau en Allemagne et de l'université Uppsalla en Suède.

Leur étude publiée mi-octobre dans la revue Frontiers in Psychology indique que cette phobie est en réalité... héréditaire. Elle montre que des nourrissons âgé de six mois -qui ne connaissent pas encore les dangers de tels animaux- montrent déjà des signes de stress quand ils voient un serpent ou une araignée.

Dans leur expérience, les scientifiques ont montré à un groupe de bébés des images d'araignées et de serpents, entrecoupées d'images de fleurs et de poissons, toutes de la même taille et de la même couleur. Quand le regard des enfants se pose sur les images de serpents ou d'araignées, leurs pupilles s'élargissent significativement. Un signe qui indique que le sujet est en train de subir un stress interne.

Stefanie Hoehl, principale auteur de cette étude et neuroscientifique à l'Institut Max Planck de Leipzig, dit à ce propos dans un entretien à Science Daily: "Dans des conditions de lumière constante, ce changement de taille des pupilles est un signal important pour l'activation du système noradrénergique dans le cerveau, responsable des réactions de stress. En conséquence, même les bébés les plus jeunes semblent être stressés par ces groupes d'animaux."

Le raisonnement des chercheurs consiste à dire qu'il s'agit d'un développement évolutif, similaire à celui des primates. "Cette réaction de stress héritée nous prédispose à percevoir ces animaux comme dangereux ou dégoûtants. Quand ce phénomène est accompagné d'autres facteurs plus éloignés, il peut vite se transformer en une vraie peur voire une phobie", explique Stephanie Hoel.

Du rhinocéros aux seringues

Cette peur instinctive peut ensuite être accentuée par la propre peur d'un parent, qui facilite à développer un trouble de l'anxiété.

L'équipe de chercheurs a également remarqué que les bébés qui ont subi l'expérience n'associent pas les photos de rhinocéros, d'ours et autres animaux potentiellement dangereux, à la peur. Les scientifiques expliquent cette non-réaction par le fait que ces animaux n'ont jamais vraiment vécu au plus près de l'Homme, tandis que les serpents et araignées vivent à ses côtés depuis toujours. "Pour les risques modernes comme les couteaux, les seringues ou les prises, c'est le même problème. Ces objets n'existent que depuis peu de temps, et il n'y a pas encore eu assez de temps pour établir des mécanismes de réaction dans le cerveau depuis la naissance."

Cet article a été publié initialement sur le HuffPost UK et traduit en français.

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La fin du feuilleton sur la disparition du glyphosate dans l'Union Européenne encore repoussée

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Le feuilleton sur l'interdiction du glyphosate dans l'Union Européenne encore repoussé

GLYPHOSATE - Il va (encore) falloir attendre pour connaitre le sort du glyphosate dans l'Union Européenne. Les représentants des Etats membres de l'UE, réunis dans un comité d'experts pour décider du sort du glyphosate, herbicide controversé dont la licence expire en décembre, n'ont pas voté ce mercredi 25 octobre, a annoncé la Commission européenne.

La Commission qui, lors d'une annonce surprise mardi après-midi, a indiqué qu'elle visait désormais un renouvellement de l'autorisation de la substance pour une période réduite de cinq à sept ans, va "réfléchir" après avoir pris note des positions des différentes délégations. Elle fixera "sous peu" une nouvelle date de réunion, a-t-elle précisé dans un court message.

La proposition initiale de la Commission, faite l'été dernier, portait sur une période de ré-autorisation de 10 ans. La Commission s'était fixée pour objectif d'organiser un vote ce mercredi lors de la réunion du comité des experts, dont les rencontres se font toujours à huis clos. Le glyphosate était le seul point à l'agenda.

"Impossible de s'entendre sur la proposition de la Commission", a expliqué sur Twitter le ministère danois de l'Environnement. "Echec de l'accord sur le renouvellement du glyphosate pour 10, 7, 5, ans. Pas de vote aujourd'hui. Décision prévue en novembre. Nous avons besoin d'étapes précises pour aller vers la fin du glyphosate", a tweeté la ministre de l'environnement luxembourgeoise.

Selon une porte-parole de la Commission, l'exécutif européen maintient son objectif de "trouver une solution qui bénéficie du soutien le plus large possible, qui assure un haut niveau de protection de la santé humaine et de l'environnement, en ligne avec la législation européenne et fondée sur les données scientifiques disponibles".

Il faut une majorité qualifiée -55% des Etats membres représentant 65% de la population- pour accepter ou rejeter la proposition de la Commission, difficile à atteindre sans les poids lourds démographiques de l'UE.

Plusieurs Etats membres, France, Autriche, Italie en tête, ont affirmé publiquement leur opposition à une autorisation valable pour encore 10 ans. Mercredi matin, la Belgique a rejoint le camp des opposants. "On ne veut pas de délais trop longs", a expliqué à l'AFP le cabinet du ministre belge de l'Agriculture Denis Ducarme. Après l'échec du vote mercredi, la France s'est prononcé en faveur d'un renouvellement de l'autorisation qui "n'aille pas au-delà de quatre ans".

Mardi, le Parlement européen avait voté en faveur d'une disparition progressive du glyphosate des sols de l'UE d'ici fin 2022. Un vote non contraignant, mais qui devait mettre la pression à la Commission. En vain, de toute évidence.

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Le député LREM accusé d'agression sexuelle conteste les "atrocités" qu'on lui prête auprès de la majorité

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Le député LREM accusé d'agression sexuelle conteste les

POLITIQUE - Christophe Arend ne cesse de démentir. Après la plainte pour dénonciation calomnieuse, la lettre à ses collègues. Le député LREM de Moselle Christophe Arend, qui fait l'objet d'une enquête préliminaire pour "harcèlement et agression sexuelle", a adressé ce mercredi 25 octobre un courrier aux élus de son groupe dans lequel il conteste les "atrocités" qu'on lui prête.

Dans ce courrier, transmis au président du groupe Richard Ferrand et aux députés LREM, mais aussi au président de l'Assemblée François de Rugy (LREM), et dont l'AFP a obtenu copie, Christophe Arend, écrit que "les médias se font l'écho d'une plainte qui aurait été déposée contre moi par une ancienne attachée parlementaire". Une enquête préliminaire a été ouverte lundi à l'encontre du député de Moselle par le parquet de Sarreguemines pour "harcèlement et agression sexuelle".

Cette enquête fait suite à une plainte déposée par l'ex-assistante parlementaire de Christophe Arend qui l'accuse d'avoir multiplié "les remarques sexistes" et les gestes déplacés, et d'avoir "tout fait pour (la) faire craquer".

"Je conteste avec la plus grande fermeté ces atrocités que l'on me prête de façon malveillante", écrit l'élu, qui a "déposé plainte pour dénonciation calomnieuse", selon son avocate. Christophe Arend ajoute dans son courrier qu'il a "pleinement confiance en la justice" et se dit "certain qu'elle saura, en temps utile, déclarer (s)on innocence".

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