En mai dernier, avec Natas Loves You, nous sommes partis jouer au Primavera Sound à Barcelone. Dans le cadre de ce festival ont lieu beaucoup de concerts gratuits dans toute la ville, on y a joué plusieurs fois sur deux jours, en terminant sur l'une des nombreuses scènes du site du festival le dernier soir.
L'ambiance du festival est incroyable, les concerts restent intimistes, le temps est agréable, et le nombre de bons groupes est énorme. On connaît tous ce moment où l'on se retrouve à voir un zoom de Kings of Leon sur un écran à un kilomètre, parce que quelqu'un s'est motivé pour aller écouter un titre du premier album, et bien pas là!
La ville a des allures de Californie du vieux continent, et c'est au bord de la mer qu'on va écouter de la musique créée par et pour des gens qui viennent de partout. Cet éclectisme est surement en partie responsable de l'ambiance ouverte et pacifique du festival. " Merde, on dirait que personne n'a l'alcool mauvais ici..." dit Fred Lefranc, ingénieur du son.
On a commencé le premier jour par un concert/moment détente dans le parc de la Ciutadella vers 13 heures devant des touristes anglais en descente ( les vrais savent ), des familles espagnoles (toi-même tu sais) et le soleil qui tapait comme jamais.
Des ingrédients qui s'avéraient plutôt efficaces pour un bon concert, et pour appréhender le manque de mémoire à court terme du à la nuit de la veille. Après nous, jouait un groupe de rockab espagnol qui arborait un look de toréador punk assez improbable. Tout ça pour dire qu'ils ont une culture rock très assumée en Espagne et que ça fait plaisir de revenir aux bases.
Ensuite, après avoir croisé Connan Mockassin dans l'ascenseur de l'hôtel, mangé un petit déjeuner un petit peu trop tôt avec Sean Kuti, on a fini par jouer le dernier soir à minuit sur une scène en forme de semi-amphithéâtre, au bord de l'eau.
Les gens répondaient plutôt pas mal à notre espagnol de vaches anglaises, mais heureusement pour nous tout le monde comprenait plus ou moins l'anglais, surtout que demander à une fille d'aller prendre de l'acide et voir un concert de Ty Seagall est quelque chose qui se fait complètement à "Primi".
Le tout s'est donc terminé, par une nuit avec très peu de sommeil.
Mais pour connaître les évènements de cette soirée en détails, et ils furent nombreux, il faudra acheter notre album dans lequel nous avons glissé des polaroids de cette soirée de clôture, un peu comme dans la fin du film Very Bad Trip pour les connaisseurs, ou The Hangover pour les fluents.
Après quelques vols ratés nous étions donc déjà de retour vers notre chère capitale et son climat capricieux, prêts à aller défendre cette sortie imminente, sur les routes de France, que dis-je, du monde!
Et par souci de cohérence, terminons donc sur une phrase tirée du film de Todd Phillips qui décrirait bien cet opus à sortir le 13 Octobre: " You're more likely to end up on the roof than on the floor "
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L'ambiance du festival est incroyable, les concerts restent intimistes, le temps est agréable, et le nombre de bons groupes est énorme. On connaît tous ce moment où l'on se retrouve à voir un zoom de Kings of Leon sur un écran à un kilomètre, parce que quelqu'un s'est motivé pour aller écouter un titre du premier album, et bien pas là!
La ville a des allures de Californie du vieux continent, et c'est au bord de la mer qu'on va écouter de la musique créée par et pour des gens qui viennent de partout. Cet éclectisme est surement en partie responsable de l'ambiance ouverte et pacifique du festival. " Merde, on dirait que personne n'a l'alcool mauvais ici..." dit Fred Lefranc, ingénieur du son.
On a commencé le premier jour par un concert/moment détente dans le parc de la Ciutadella vers 13 heures devant des touristes anglais en descente ( les vrais savent ), des familles espagnoles (toi-même tu sais) et le soleil qui tapait comme jamais.
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Des ingrédients qui s'avéraient plutôt efficaces pour un bon concert, et pour appréhender le manque de mémoire à court terme du à la nuit de la veille. Après nous, jouait un groupe de rockab espagnol qui arborait un look de toréador punk assez improbable. Tout ça pour dire qu'ils ont une culture rock très assumée en Espagne et que ça fait plaisir de revenir aux bases.
Ensuite, après avoir croisé Connan Mockassin dans l'ascenseur de l'hôtel, mangé un petit déjeuner un petit peu trop tôt avec Sean Kuti, on a fini par jouer le dernier soir à minuit sur une scène en forme de semi-amphithéâtre, au bord de l'eau.
Les gens répondaient plutôt pas mal à notre espagnol de vaches anglaises, mais heureusement pour nous tout le monde comprenait plus ou moins l'anglais, surtout que demander à une fille d'aller prendre de l'acide et voir un concert de Ty Seagall est quelque chose qui se fait complètement à "Primi".
Le tout s'est donc terminé, par une nuit avec très peu de sommeil.
Mais pour connaître les évènements de cette soirée en détails, et ils furent nombreux, il faudra acheter notre album dans lequel nous avons glissé des polaroids de cette soirée de clôture, un peu comme dans la fin du film Very Bad Trip pour les connaisseurs, ou The Hangover pour les fluents.
Après quelques vols ratés nous étions donc déjà de retour vers notre chère capitale et son climat capricieux, prêts à aller défendre cette sortie imminente, sur les routes de France, que dis-je, du monde!
Et par souci de cohérence, terminons donc sur une phrase tirée du film de Todd Phillips qui décrirait bien cet opus à sortir le 13 Octobre: " You're more likely to end up on the roof than on the floor "

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