POLITIQUE – Il y aura des primaires, et elles seront ouvertes. Ça va mieux en le disant. Nicolas Sarkozy a donné "des précisions" sur l'organisation de la primaire lors d'un meeting à Troyes, indiquant que la primaire devait concerner toute l'opposition.
Nicolas Sarkozy se prêtait au jeu de questions-réponses lors d'un meeting aux côtés de François Baroin, et en présence de sa femme Carla Bruni-Sarkozy dans un gymnase de Saint-Julien-les-Villas, la périphérie de Troyes.
Interrogé par une commerçante sur la pertinence du système de la primaire "pour avoir un bon président de la République", l'ex-chef de l’État a d'abord ironisé en répondant qu'un tel processus n'est pas l'assurance d'avoir un bon président.
Lire aussi : Primaire ouverte,la bombe à retardement de l'UMP
Puis plus sérieusement, "est-ce qu'il y aura des primaires? Réponse oui", a-t-il dit, ajoutant qu'il comprenait "les réserves" de certains.
"Il y aura des primaires, elles seront ouvertes", a-t-il continué, confirmant qu'il transposerait le système prévu par les statuts actuels. "Pour voter aux primaires, il faudra vraiment partager nos valeurs et nos positions républicaines", a-t-il ajouté. Cela "devra concerner toute l'opposition".
"Qu'on n'en parle plus"
"Et je voudrais maintenant qu'on n'en parle plus et que ce ne soit pas une occasion de querelle entre nous", a-t-il ajouté.
Et de finir: "J'ai eu une longue rencontre cet après-midi avec François Fillon et je lui ai dit naturellement que les choses se passeraient ainsi, et je le dis parce qu'on s'est mis d'accord", a-t-il dit. "On s'est vu, c'est tout à fait normal, il a été Premier ministre pendant cinq ans (...) j'aurai besoin de lui (...) il avait besoin d'avoir des précisions sur ce sujet", a-t-il ajouté.
L'entourage de François Fillon a fait savoir à l'AFP que les deux hommes "se sont parlés avec franchise"."Ils ont partagé leur analyse de la situation politique".
Nicolas Sarkozy se prêtait au jeu de questions-réponses lors d'un meeting aux côtés de François Baroin, et en présence de sa femme Carla Bruni-Sarkozy dans un gymnase de Saint-Julien-les-Villas, la périphérie de Troyes.
Interrogé par une commerçante sur la pertinence du système de la primaire "pour avoir un bon président de la République", l'ex-chef de l’État a d'abord ironisé en répondant qu'un tel processus n'est pas l'assurance d'avoir un bon président.
Lire aussi : Primaire ouverte,la bombe à retardement de l'UMP
Puis plus sérieusement, "est-ce qu'il y aura des primaires? Réponse oui", a-t-il dit, ajoutant qu'il comprenait "les réserves" de certains.
"Il y aura des primaires, elles seront ouvertes", a-t-il continué, confirmant qu'il transposerait le système prévu par les statuts actuels. "Pour voter aux primaires, il faudra vraiment partager nos valeurs et nos positions républicaines", a-t-il ajouté. Cela "devra concerner toute l'opposition".
"Qu'on n'en parle plus"
"Et je voudrais maintenant qu'on n'en parle plus et que ce ne soit pas une occasion de querelle entre nous", a-t-il ajouté.
Et de finir: "J'ai eu une longue rencontre cet après-midi avec François Fillon et je lui ai dit naturellement que les choses se passeraient ainsi, et je le dis parce qu'on s'est mis d'accord", a-t-il dit. "On s'est vu, c'est tout à fait normal, il a été Premier ministre pendant cinq ans (...) j'aurai besoin de lui (...) il avait besoin d'avoir des précisions sur ce sujet", a-t-il ajouté.
L'entourage de François Fillon a fait savoir à l'AFP que les deux hommes "se sont parlés avec franchise"."Ils ont partagé leur analyse de la situation politique".
Lire aussi :
» La campagne "tranquille" d'Alain Juppé à l'ombre du Sarkoshow
» Baroin met les pieds dans le plat à propos des primaires
Retrouvez les articles du HuffPost sur notre page Facebook.
Pour suivre les dernières actualités en direct, cliquez ici.