Il y a tout juste un an, un écran noir venait remplacer l'audiovisuel public en Grèce. Les trois chaînes de télévision du groupe ERT ainsi qu'une station de radio étaient purement et simplement fermées, sur ordre du gouvernement, laissant 2656 salariés sur le carreau et des grecs privés de service public dans les médias.
Un an après, une nouvelle chaîne de télévision a été créée, elle s'appelle NERIT et elle émet depuis le 4 mai dernier. Une chaîne au lieu de trois. 500 salariés au lieu de 2656. Des salaires divisés par trois et une part de marché qui est passée de 12% à moins de 3%, voilà qui nous a donné une furieuse envie d'interroger Thomaïs Papaïoannou, la correspondante en France de NERIT.
Un an après, une nouvelle chaîne de télévision a été créée, elle s'appelle NERIT et elle émet depuis le 4 mai dernier. Une chaîne au lieu de trois. 500 salariés au lieu de 2656. Des salaires divisés par trois et une part de marché qui est passée de 12% à moins de 3%, voilà qui nous a donné une furieuse envie d'interroger Thomaïs Papaïoannou, la correspondante en France de NERIT.
Vous pouvez écouter la chronique de Bruno Donnet à 7h50 sur Europe 1, et la réécouter en podcast ici.
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