POLITIQUE - La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a indiqué dimanche souhaiter attendre "l'issue des recours" déposés contre le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, près de Nantes, avant toute décision.
Interrogées sur ses déclarations passées à ce sujet, la ministre a reconnu avoir "toujours pensé que le dialogue devait se renouer autour d'un projet élaboré avant même que le TGV Nantes-Paris existe et qu'il fallait peut-être remettre les choses à plat".
Pour autant, "il y a une position très claire qui a été établie par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault (...). Il a dit qu'il était d'accord pour attendre la fin de l'ensemble des jugements de tous les recours qui ont été déposés", a-t-elle souligné.
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Confié en 2010 au groupe Vinci pour remplacer l'actuel aéroport de Nantes-Atlantique, le projet de nouvel aéroport de Notre-Dame des-Landes est de facto gelé en raison de procédures engagées par des opposants, qui doutent de sa pertinence et craignent un impact irréparable sur l'environnement dans une zone humide de bocage. En avril 2013, Jean-Marc Ayrault, fervent partisan du projet, avait une nouvelle fois réaffirmé son "attachement" au projet.
Par ailleurs, Ségolène Royal a aussi affirmé qu'elle refusait que "la cause de l'écologie se résume à des impôts supplémentaires", sans dire pour autant si elle souhaitait une suppression de l'écotaxe poids lourds.
"L'écologie et la protection de l'environnement doivent être quelque chose de positif, d'enthousiasmant. C'est une solution, pas une punition", a ajouté la ministre. "Je ne voudrais pas que la première décision du gouvernement soit un impôt nouveau", a-t-elle insisté.
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"Je souhaite attendre, comme (l'ex-Premier ministre) Jean-Marc Ayrault l'avait dit, l'issue des recours", a-t-elle déclaré lors du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro sur ce sujet de désaccord avec les écologistes.
Interrogées sur ses déclarations passées à ce sujet, la ministre a reconnu avoir "toujours pensé que le dialogue devait se renouer autour d'un projet élaboré avant même que le TGV Nantes-Paris existe et qu'il fallait peut-être remettre les choses à plat".
Pour autant, "il y a une position très claire qui a été établie par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault (...). Il a dit qu'il était d'accord pour attendre la fin de l'ensemble des jugements de tous les recours qui ont été déposés", a-t-elle souligné.
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Confié en 2010 au groupe Vinci pour remplacer l'actuel aéroport de Nantes-Atlantique, le projet de nouvel aéroport de Notre-Dame des-Landes est de facto gelé en raison de procédures engagées par des opposants, qui doutent de sa pertinence et craignent un impact irréparable sur l'environnement dans une zone humide de bocage. En avril 2013, Jean-Marc Ayrault, fervent partisan du projet, avait une nouvelle fois réaffirmé son "attachement" au projet.
Par ailleurs, Ségolène Royal a aussi affirmé qu'elle refusait que "la cause de l'écologie se résume à des impôts supplémentaires", sans dire pour autant si elle souhaitait une suppression de l'écotaxe poids lourds.
"L'écologie et la protection de l'environnement doivent être quelque chose de positif, d'enthousiasmant. C'est une solution, pas une punition", a ajouté la ministre. "Je ne voudrais pas que la première décision du gouvernement soit un impôt nouveau", a-t-elle insisté.
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